Afin d'identifier des "leviers d'action pour promouvoir l'exercice du droit de vote des personnes en situation de handicap à travers les aides humaines", Handéo, via son observatoire national des aides humaines, a réalisé une enquête auprès d'établissements et services médico-sociaux (ESMS), dont les premiers résultats viennent d'être publiés.
Depuis 2004 - année de sa création - jusqu'en 2016, la journée de solidarité a permis de collecter 28 milliards d'euros dont 2,29 milliards l'année dernière. En 2017, cette journée de travail non rémunérée devrait rapporter quelque 2,37 milliards d'euros, selon le bilan annuel de sa recette, présenté le 31 mai par la caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA).
Finalisant ainsi les outils de mise en oeuvre de la réforme de la contractualisation et de la tarification des établissements et services médico-sociaux, elle décrit le contenu du cahier des charges du CPOM applicable aux EHPAD, propose une doctrine sur le mouvement de généralisation de la contractualisation dans le secteur et précise le nouveau mode de tarification de l'hébergement pour personnes âgées dépendantes.
Les auteurs dresse un bilan plutôt critique du plan autisme en application jusqu'à la fin de l'année. Ils constatent que les enfants "ne bénéficient pas toujours de l'orientation la plus appropriée" ou, qu'en tous les cas, la pertinence des actions engagées n'est pas garantie, faute de compétences disponibles. Le tableau est encore plus sombre concernant les adultes.
Prendre le relais d’un ou d’une manager qui a marqué, parfois depuis des décennies, la direction d’un ESMS n’est pas chose aisée. La transmission doit être acceptée tant par l’arrivant que par le partant, afin d’aider les équipes à intégrer les changements.
Dans les ESMS, marqués par un fort taux de féminisation des emplois et un important recours au temps partiel, l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes est devenue un sujet incontournable.
Manque de temps ou de compétences en interne pour apporter une expertise sur l’évaluation de la qualité et la gestion des risques psychosociaux, ou pour former les cadres intermédiaires… Bien souvent, faire appel à des spécialistes externes à l’établissement est devenu nécessaire. Mais cela ne doit pas être systématique.
La sûreté des biens et des locaux ne s’improvise pas. Il faut prévoir une étude préalable, veiller à la qualité des prestataires, et anticiper la maintenance du système.
Le conseil de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA) a approuvé, jeudi 20 avril, la clôture de ses comptes 2016 - sur un budget s'établissant à 22,6 milliards d'euros, en déficit de 94,6 millions d'euros - et son rapport d'activité qui revient, notamment, sur plusieurs chantiers importants. Elle a aussi adopté un budget rectificatif 2017, avec près de deux millions d'euros supplémentaires pour la démarche "une réponse accompagnée pour tous".
NAO, Leka ou Aloïs font partie de ces robots humanoïdes apparus depuis quelque temps dans les ESMS. Dotés de plus en plus de fonctionnalités, ils servent de support d’animation pour les uns, d’assistants aux personnes fragilisées pour les autres(1).
Rechercher et recruter du personnel est devenu une tâche énergivore et chronophage pour les employeurs de certains ESMS. Désormais, ceux-ci délaissent les canaux de recrutement institutionnels au profit d’une recherche plus informelle via les réseaux sociaux et le bouche-à-oreille, voire innovante.
Faire du site Web un outil de communication qui ait du sens pour l’activité d’une association et facilite son rayonnement, tel est l’objectif premier. Mais afin d’y parvenir, certains points – sur les objectifs, la gestion des contenus, la compatibilité, le référencement – sont à considérer.
Pour s’assurer d’administrer le bon médicament à la bonne dose, au bon moment et au bon résident, de plus en plus d’établissements pour personnes âgées dépendantes ou pour personnes handicapées se sont dotés d’outils de gestion informatisés.
Les femmes seraient-elles moins enclines à assumer des fonctions de direction ? C’est en tout cas un sentiment partagé par nombre de celles qui en occupent. Si la féminisation des postes d’encadrement dans le secteur social et médico-social est importante, elle reste néanmoins toute relative.