Le fait religieux bouscule les pratiques du travail social. Tout manager peut un jour se voir confronté à une situation de « crispation » suscitant au sein de ses équipes des points de vue divergents. La difficulté à définir le principe de laïcité et à fixer la limite entre espaces public et privé a mené une poignée d’entre eux à s’emparer de cette problématique.
Problèmes d’hygiène ou d’incontinence, atmosphères confinées… Des effluves désagréables parfois présents au sein des ESMS peuvent déranger le personnel, les résidents tout comme les visiteurs.
Mise en place d’un dispositif d’orientation permanent par les maisons départementales des personnes handicapées, reconnaissance légale du « dispositif ITEP », expérimentation des salles de consommation à moindre risque. Telles sont les mesures « phares » de la loi « santé » dans le secteur médico-social.
Adossés à un établissement ou un service médico-social, ces pôles s’adressent à l’ensemble des situations de handicap et doivent permettre, en priorité, de financer les interventions directes de professionnels (psychologues, éducateurs…) au domicile des personnes handicapées.
Il y a tout à gagner, pour l’étudiant qui effectue un stage en travail social comme pour l’équipe qui le reçoit, à bien préparer et organiser ce temps essentiel de la formation(1).
Afin de remplir leurs missions, certaines structures se dotent d’un parc de véhicules. Mais pour ce faire, elles doivent déterminer précisément leurs besoins, les coûts de location ou d’achat, le type d’énergie, etc.
Il est à craindre que les nouveaux indicateurs de l’Agence nationale d’appui à la performance (ANAP), présentés pourtant comme un outil permettant de généraliser les bonnes pratiques, s’inscrivent dans une logique de convergence tarifaire et ne permettent toujours pas un véritable dialogue de gestion, met en garde Yanick Boulet, directeur général des établissements de l’Entraide universitaire, au nom du Collectif associatif de réflexion sur les indicateurs ANAP(1).
Principales nouveautés cette année : le transfert du financement des dépenses de fonctionnement des ESAT de l’Etat vers l’assurance maladie, le recentrage des CPOM sur le secteur du handicap et la réforme du financement des soins de suite et de réadaptation.