Oh que je suis contente ! Ça me donne une pêche « de ouf » comme disent les gamins des Mecs et d’ailleurs.
Non, ce n’est pas l’ouverture des soldes qui me met dans cet état. Je vous livre l’info illico : la rubrique « Histoire » des ASH est de retour. Cette chronique intitulée « Dans le rétro » avait été suspendue, le temps d’une réorganisation. Ma rédactrice en chef vient de me dire qu’elle l’a rhabillée de la tête au pied. Elle souhaitait un propos plus proche de nos préoccupations, davantage centré sur l’histoire du travail social que dans sa version précédente.
Alors elle a sollicité les associations qui entretiennent l’histoire et les archives de l’action sociale. Ils ont été aussi enthousiastes que je le suis aujourd’hui. Il a fallu un peu de temps pour bâtir un calendrier, parce qu’un hebdomadaire c’est un sacré rythme de parution à considérer. Ils ont choisi les sujets importants qui seront abordés : chacun sait combien il faut connaître le passé pour appréhender l’avenir au mieux.
Et en s’y mettant à plusieurs, ces pros du secteur et l’équipe de la rédaction ont réussi à pondre un projet bien ficelé. Cerise sur le gâteau, je suis chargée de vous présenter les contributeurs de cette rubrique dans sa nouvelle version. Les voici :
• l’association Mémoire vive – centres sociaux ;
• le Groupe de recherche sur l’histoire du service social (GRHESS) ;
• le Conservatoire national des archives et de l’histoire de l’éducation spécialisée (CNAHES) ;
• l’Association des déposants aux archives de la jeunesse et de l’éducation populaire (ADAJEP) ;
• l’Association pour l’histoire de la protection judiciaire des mineurs (AHPJM).
L’équipe des ASH est infiniment reconnaissante à ces associations contributrices de prendre le temps d’œuvrer avec elle, et pour vous, de nous éclairer ou nous remémorer les événements et les personnages qui ont bâti l’histoire de nos professions. Alors, je les remercie ici en notre nom. Et je file lire le premier article publié en page 39. Un papier sur les débuts de l’action sociale, mais si j’ai bien compris, rien ne sera systématiquement chronologique. Les thèmes choisis sauront s’adapter à l’actualité, pour que l’histoire considère le présent.