Sur le stand du Val-de-Marne, on se félicite d’un salon « très dynamique » qui a permis de rencontrer des « profils d’étudiants très différents ». Pas loin dans l’allée, les voisins des Hauts-de-Seine insistent sur « la voie de l’apprentissage » pour « donner envie aux futurs professionnels ». En face, la Seine-Maritime arrive en conquérante sur les terres franciliennes et se distingue avec d’autres arguments : « Si une AS vient chez nous, elle peut évoluer, après quelques années, vers des postes de cadre ou basculer sur une autre filière de la fonction publique. »
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Un atout lié au statut que met aussi en avant le Samu social de Paris qui joue sur une « marque employeur » forte avec le 115, notamment : en début d’après-midi des dizaines de candidatures sont déjà empilées sur le stand pour une centaine d’offres. Tandis que chez Pôle emploi, c’est en dizaines de milliers que l’on compte les emplois qui seront mobilisés pour les prochains Jeux Olympiques et Paralympiques…
En attendant le job board...
Mais tout le monde n’est pas en phase de recrutement, il y a aussi des organismes de formation à l’image des IRTS de la région, du Greta ou du stand de la Cramif qui présente son école du service social. Et on retrouve enfin un exposant plus décalé : les créateurs de la plateforme Youne, « le Doctolib du social et du médico-social » (voir leur interview prochainement sur ash.tm.fr).
Les ASH et l’emploi, c’est une longue histoire. Après cette rencontre physique à Paris entre employeurs et (futurs) travailleurs sociaux, un autre rendez-vous arrive d’ici la fin de l’année sur vos écrans : le job board, la future plateforme de mise en relation entre les recruteurs et les candidats.