Conséquence évidente du point précédent : les personnes âgées et les personnes handicapées – enfants et adultes – sont en proportion les principales bénéficiaires des actions de médiation animale. La médiation animale, couramment pratiquée et considérée comme une thérapie non médicamenteuse parmi d’autres, a largement fait ses preuves auprès de ces populations. Il n’est donc pas étonnant de les retrouver en tête de liste.
Ce que le questionnaire nous apprend en creux, c’est que la médiation animale pourrait certainement être plus développée auprès d’autres catégories de population : enfants, adolescents, malades en services longue durée ou en soins palliatifs, personnes en difficultés sociales...