La première promotion compte vingt personnes, dix à Toulouse et dix à Montpellier. « Il s’agit, précise Florence Fondeville, de professionnels du soin, de l’animation, de l’action sociale, de l’accompagnement éducatif ou pédagogique. Ces professionnels aidants ont déjà un diplôme et un métier. Ils veulent maîtriser un domaine de compétence supplémentaire pour améliorer leur pratique. Certains d’entre eux ont déjà pris l’habitude d’emmener leur chien au travail : ils cherchent à se professionnaliser et à acquérir une plus grande légitimité. »
Les parcours et les profils sont divers. « Ils sont jeunes ou moins jeunes. Travaillent en institution avec l’intention d’y retourner après leur formation pour mettre en œuvre leurs nouvelles compétences dans le cadre qu’ils connaissent. »