Ces dispositifs d’aide sont définis dans le plan d’aide, en fonction du besoin de répit évalué par l’équipe médico-sociale lors de la demande d’allocation, ou dans le cadre d’une demande de révision, dans la limite d’un plafond.
Le plan d’aide peut comporter le recours à des aides (accueil de jour, accueil de nuit, hébergement temporaire, accueil familial, heures ou journées d’aide ou de surveillance à domicile) permettant avant tout le répit de l’aidant. Les dispositifs mobilisés doivent être adaptés à la situation, aux besoins, à la nature et au degré de perte d’autonomie de la personne âgée. Le recours aux aides au répit doit autant que possible recueillir l’assentiment de la personne âgée.
« Il appartient à l’équipe médico-sociale, dans le cadre d’un échange avec le ou les aidants et la personne âgée bénéficiaire de l’APA, de déterminer le dispositif apportant du répit et les modalités de son recours en fonction de la situation, des souhaits des personnes, de ce qui paraît pertinent, et des possibilités. Le répit peut en effet consister en deux heures d’aide humaine supplémentaires pour permettre à l’aidant d’avoir du temps libre », précise la direction générale de la cohésion sociale (1).
(1)
DGCS, « Réforme de l’APA à domicile, Questions-réponses », nov. 2016