Le mandataire de protection future engage sa responsabilité pour l’exercice de son mandat dans les conditions du droit commun des mandats (C. civ., art. 424 et 1992).
Ainsi, il répondra non seulement du dol, mais aussi des fautes qu’il aura commises dans sa gestion. Néanmoins, la responsabilité relative aux fautes est appliquée moins rigoureusement à celui dont le mandat est exercé à titre gratuit qu’à celui qui reçoit un salaire.