1. Penser aux effectifs de travailleurs sociaux. Au début de l’Emot, nous avions sous-estimé les besoins sociaux et administratifs des personnes à la sortie de détention.
2. Prendre en compte qu’il faut un budget pour payer les cafés, les produits de première nécessité, les timbres fiscaux, les photos d’identité, un peu de nourriture, les tickets de métro, la pharmacie, voire des sous-vêtements… La logistique est essentielle.
3. S’adapter encore plus qu’ailleurs, et s’attendre aux difficultés du passage de relais. Les structures de soin sont saturées et nos patients sont les « moins vendeurs » : ils multiplient les pathologies et les addictions. En plus, ils sortent de prison.