1. Prévenir les malentendus. Je ne communique pas l’adresse physique de l’association avant d’avoir vérifié dans un premier échange que la personne est motivée et qu’elle a bien compris qui nous sommes. Sinon, je réoriente tout de suite. Notre programme vise l’insertion professionnelle mais il s’adresse à des débutants, même si on peut les rediriger après. Et nous ne sommes pas un incubateur.
2. Peser les difficultés. La progression doit se faire en douceur, même si les mises en situation doivent faire expérimenter aux cuisiniers les « coups de feu ». Au plus près de leur montée en compétences, je choisis pour chacun la collaboration qui va matcher.
3. Rester en lien. A leur arrivée, je fais signer aux personnes un engagement d’assiduité. Je travaille avec un public qui n’est pas toujours ponctuel et qui a beaucoup d’autres choses à penser. Alors il faut sans cesse faire des rappels et se tenir disponible. Nous communiquons beaucoup par messages.