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« Laissons faire celles qui savent »

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A l’heure où les services à domicile sont dans le rouge, le repérage des fragilités est-il la solution pour retarder la perte d’autonomie et valoriser le métier d’auxiliaire de vie ?

Qui pour constater une baisse d’appétit ? Qui pour se rendre compte de déplacements plus chancelants ? Qui pour percevoir qu’une légère confusion s’installe ? Autant d’indices pourtant indispensables pour conduire à une prise de conscience. Et, dans son sillage, à une alerte qu’il faudra donner le plus rapidement possible afin d’éviter que la perte d’autonomie s’installe trop brutalement et ne conduise inévitablement aux portes de l’institution.

Voilà pour l’enjeu en France, où l’écrasante majorité des personnes souhaitent rester à domicile le plus longtemps possible. Si la loi incite au développement d’un modèle participatif impliquant les bénéficiaires, qui peut croire que ce sont eux, les premiers concernés, qui appelleront au secours ?

Pour que les aides à domicile prennent conscience de l’importance de leur rôle et du poids de leur regard, l’organisation pyramidale n’est plus de mise. Elle ne mène qu’à

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