La Cnil a publié le 2 mai dernier une recommandation autorisant l’installation de caméras dans l’intimité des résidents uniquement lorsqu’une enquête pour suspicion de violences n’a pas abouti. Directeurs d’établissements et familles sont plutôt défavorables à un tel dispositif, pour des raisons différentes. Face aux enjeux de bientraitance, ils préfèrent consolider le dialogue et le partage d’expériences.
Têtes chercheuses
Ehpad : la vidéo-surveillance dans les chambres ?
Article réservé aux abonnés