Rendre visible ce qui est invisible et incarner le travail social sur les réseaux pour participer à l’attractivité du secteur. C’est le défi que s’est lancé l’équipe du pôle communication de l’institut régional du travail social (IRTS) Parmentier, à Paris.
Aux manettes, un trio passionné de communication. Bénédicte Saurine à la stratégie, Alexandra Bazin à la coordination et Joachim Labiste, étudiant en alternance, à la gestion du compte Insta de l’école. Tout est pro ! Les trois salariés du service pensent, analysent, créent et postent leurs contenus. Vidéos, photos, conseils… Un programme en ligne au service des métiers. « J’aime la bienveillance que le secteur véhicule. Je ne ressens pas d’animosité ou d’esprit de compétition comme c’est le cas dans certaines écoles de commerce », détaille Joachim Labiste, féru de digital.
L’équipe priorise. Si des comptes X (ex-Twitter), YouTube ou Facebook ont été créés, elle nourrit quotidiennement ses fils d’actu LinkedIn et Insta. « Le premier pour partager les actualités et les activités de l’IRTS à destination des travailleurs sociaux, et le second pour proposer des informations plus légères, générer de l’interaction, publier des stories ou questionner les étudiants par le biais de sondages », détaille Bénédicte Saurine, directrice de la communication de l’IRTS.
Institut de formation oblige, l’axe prioritaire repose sur l’intérêt suscité par les sujets publiés auprès des jeunes dans le but de les attirer.
L’école du travail social.
LinkedIn : « Ce sont des travailleurs sociaux qui ont fait un passage chez nous ou qui connaissent bien leur secteur d’activités, indique Alexandra Bazin. Nous nous adressons donc aux professionnels et aux institutions. »
Instagram : les étudiants actuels et futurs.
De la mise en scène aux témoignages jusqu’à la publication d’événements, le compte Insta ne laisse rien au hasard. L’alternance de photos et de vidéos couplée à celle de couleurs marque l’importance accordée à la qualité visuelle. Les propositions de « réels » sur des formats d’interviews, de reportages ou d’infos pratiques ont tout des codes des réseaux destinés aux jeunes. Une fraîcheur novatrice dans le secteur.