L’agence régionale de santé (ARS) des Hauts-de-France participe au financement du lieu, sur la base du fonds d’intervention régional (FIR).
L’Agence nationale pour les chèques-vacances (ANCV) finance le pôle « séjours de répit ».
La caisse d’allocations familiales (CAF) s’implique sur le pôle « parents aidants » (Espace parentalité handicap et Halte-répit parental).
Entre cinq et sept fondations privées. L’une va financer du mobilier, une autre le futur bâtiment du pôle « parents aidants », une troisième la salle de balnéothérapie.
La complexité du financement. Une vingtaine de financeurs divers, avec une pérennité faible. Une activité chronophage, parce qu’il faut écrire, budgéter et convaincre, sans jamais savoir si ce sera reconduit d’une année sur l’autre.
Un statut « hors des clous ». L’association se place en dehors du cadre du « droit au répit » : un accueil de 120 jours par an, prévu uniquement en établissement. Avantage : pas besoin de notification de la MDPH. Inconvénient : le manque de financement.