1. Un chantier d’insertion n’est pas qu’un modèle économique. Le métier premier d’un ACI est l’insertion ; la fleur est ici le support. Il faut faire appel à des encadrants techniques professionnels pour mener le projet à bien.
2. Connaître la législation. Cette année, par exemple, le conventionnement de nouvelles structures d’insertion par l’activité économique a été gelé pour donner la priorité au renforcement des structures existantes. Il faut le savoir pour s’adapter et créer un projet qui puisse être reconnu puis financé.
3. Trouver le bon terrain. Le foncier, d’autant plus dans les villes, est rare et cher. L’accompagnement d’une mairie peut se révéler une aide précieuse. Pour des raisons de priorités politiques, certaines municipalités ne sont pas prêtes à soutenir un tel projet. D’autres, comme celle de Rennes, lancent des appels à projets pour développer des fermes urbaines.