Il est important de se demander si le chien aura accès aux espaces communs, s’il dormira en extérieur ou à l’intérieur. Il faut avoir anticipé la marche à suivre si le propriétaire ne rentre pas une journée et que le chien est resté dans la chambre. Nous nous battons contre l’idée selon laquelle il est nécessaire d’avoir un chenil extérieur pour accompagner les propriétaires. Cela peut être une solution pour des structures d’hébergement collectif, mais si l’accueil est possible en chambre, il évite de nombreuses difficultés car le propriétaire et le chien seront moins stressés.
Rien ne sert d’accueillir tout de suite dix propriétaires. Cela ajoute beaucoup de complications, avec potentiellement des problèmes entre chiens. A une structure qui se lance, je recommande de démarrer par un ou deux propriétaires de chiens, puis d’y aller petit à petit.
Il existe beaucoup d’associations dans le secteur de la condition animale. Dans de nombreuses villes, il est facile d’en trouver qui fournissent un peu de croquettes gratuitement, qui participent aux soins vétérinaires, qui délivrent du matériel ou acceptent de garder les animaux.