1. Evaluez l’impact social des actions. Les coûts précis de l’expérimentation doivent être définis et formalisés. Le but ? Permettre aux associations qui souhaitent se joindre au projet de pouvoir adhérer à une charte commune.
2. Tenez compte des spécificités locales et des besoins pour assurer une implantation. La Terre en partage constitue, par exemple, le seul espace de maraîchage de la commune ; les ressources produites sur place fournissent aussi l’école communale et la banque alimentaire de Haute-Vienne.
3. Soyez vigilant sur l’aspect partenarial. En effet, localement toujours, des structures comme un lycée professionnel, le tiers-lieu de la commune ou les salons annuels peuvent représenter des leviers d’inclusion, d’aide à la compréhension du modèle culturel français, voire devenir des partenaires.
4. Recrutez des pros. Les compétences de travailleurs sociaux salariés sont indispensables pour réussir l’intégration des demandeurs d’asile. Les accompagnements de l’encadrant technique, de la référente sociale et du directeur et coordonnateur garantissent l’efficience du dispositif.