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Notre sélection des actualités de la semaine, à retrouver sur : www.ash.tm.fr

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FONCTION PUBLIQUE HOSPITALIERE : L’AUGMENTATION GENERALE DE 90 € NET VERSEE « AU PLUS TARD » EN OCTOBRE. Elle devait s’appliquer à partir de janvier 2021, avec effet rétroactif au 1er septembre.

Cette « revalorisation anticipée » concerne « près d’un million de professionnels des établissements de santé et des Ehpad ». Elle sera concrétisée par un décret qui « sera publié dans les prochains jours », a indiqué le ministère.

Une deuxième augmentation générale de 93 € net reste programmée au 1er mars 2021.

https://bit.ly/32KuLzq

LA 13E EDITION DE LA CLASSE PREPARATOIRE « EGALITE DES CHANCES » DE L’ENPJJ OUVERTE. Intégré au concours d’éducateur de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), le dispositif « vise à favoriser l’accès de candidats dont la situation personnelle, sociale ou géographique rend difficile la préparation à ce concours », précise le ministère de la Justice.

Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 28 septembre et 35 places sont disponibles pour la promotion 2021.

La prochaine session de formation débute en janvier 2021 pour une durée de seize semaines, et un accompagnement à distance est prévu de mai à septembre.

https://bit.ly/3hT54CW

CONFERENCE DES FINANCEURS : LA CNSA DRESSE UN BILAN ENCOURAGEANT. En 2018, elles sont intervenues auprès de plus de 2 millions de personnes âgées et de 50 000 aidants. Ces programmes doivent permettre de coordonner les actions de prévention de la perte d’autonomie des plus de 60 ans ainsi que leurs financements. Ainsi, 62 territoires ont soutenu environ 3 000 actions en établissements dont ont bénéficié plus de 37 000 personnes âgées.

Parmi ces dépenses, qui ont représenté un montant global de 7,1 millions d’euros, 24 % concernaient le développement d’une activité physique adaptée, 13,7 % la santé buccodentaire. Viennent ensuite la prévention des chutes (8,4 %) et la diététique (7,5 %).

https://bit.ly/2QJ9gcK

PENDANT LE CONFINEMENT, 55 % DES AIDANTS ONT DU SE SUBSTITUER AUX PROFESSIONNELS. Selon le collectif Je t’Aide, ces interventions ont pris la forme de soins « infirmiers », de gestes de kinésithérapie et de psychomotricité ainsi que d’actes médicaux (pose ou retrait de cathéter sous-cutané, changement de pansement ou encore piqûres.

Se substituer aux professionnels n’a pas été sans conséquence pour les aidants. Ils sont en effet 49 % à avoir déclaré ressentir une « charge d’aide maximale » à la suite de la réalisation de ces actes.

Le confinement a modifié les relations entre aidants et aidés. Les répondants ont ressenti davantage d’incompréhension (88 %) et d’agressivité (84 %) de la part de leur proche aidé et se sont montrés pour leur part plus impatients qu’à l’ordinaire (73 %).

https://bit.ly/2YZp9jB

LUTTE CONTRE LES VIOLENCES CONJUGALES : UN FINANCEMENT TROP OPAQUE SELON LE SENAT.

Un rapport d’information dénonce le manque de transparence et de lisibilité des annonces gouvernementales sur les budgets consacrés à la lutte contre les violences conjugales. La majorité des crédits alloués existaient déjà : 360 millions d’euros en 2020 contre 242 millions en 2019. Les sénateurs déplorent par ailleurs la complexité administratitve et la multiplicité des financements qui entravent l’accompagnement des victimes et alertent sur les disparités territoriales. Le rapport préconise également le soutien des associations par un financement public. Car l’augmentation des sollicitations générées par le mouvement « Me too » n’a, par exemple, pas été compensé par des subventions suffisantes.

https://bit.ly/3bmZoP6

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