Cette question inonde le débat public à tel point que l’on ne sait plus très bien où on en est. Il faut garder un regard critique et ne pas considérer que tout se vaut. Il est certain que, dans les périodes difficiles, il y a une augmentation des inégalités. Et, de manière générale, les plus faibles en subissent toujours davantage les conséquences. Le département de Seine-Saint-Denis, qui rassemble de nombreuses familles de catégories populaires, a connu une forte surmortalité. Néanmoins, on ne peut pas mettre sur le même plan le danger de mourir et le risque d’être confiné dans un espace étroit. La première des inégalités dans l’épidémie de coronavirus est l’âge. Les personnes âgées sont les plus affectées. Après, i
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?