Un arrêté publié au Journal officiel le 20 janvier a suspendu pour quelques jours l’activité du centre éducatif fermé (CEF) de Nîmes, compte tenu « des difficultés rencontrées par la structure en matière de ressources humaines, qui ne permettent pas de garantir l’emploi du temps du personnel et donc [son] bon fonctionnement ». Déjà, en 2011, le contrôleur général des lieux de privation de liberté avait tiré la sonnette d’alarme sur le fort absentéisme : entre le 1er janvier et le 3 mai 2011, son taux était de 22,87 %, soit en tout 775 jours d’arrêt de travail dont 450 jours pour cinq agents à la suite d’accidents de service.
Arrêté du 7 février 2020, NOR : JUSF2003046A, J.O. du 20-02-20.