Dans un communiqué du 19 décembre, la Haute Autorité de santé (HAS) a confirmé l’importance de sa recommandation sur le diagnostic de syndrome du bébé secoué. Aux côtés de « l’ensemble des organisations professionnelles et associations de patients qui ont été mobilisées pour les élaborer », l’institution souhaite « réaffirmer l’importance de ses travaux et le rôle essentiel des professionnels de santé dans le repérage, le diagnostic et la prévention de ces maltraitances à enfant ». Elle refuse « de laisser sans réaction la mise en cause de la compétence et de la probité scientifique [des] experts ». La HAS insiste sur le fait que « contester les recommandations, c’est se tromper de sujet », et que la « méthode de travail repose sur l’expertise, la rigueur et la pluridisciplinarité ».
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La mise au point de la HAS
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