Le programme Action publique 2022 ambitionne d’améliorer la qualité des services publics en relation avec des usagers. Il impose l’affichage d’indicateurs de performance et de satisfaction. La Direction de la protection judiciaire de la jeunesse (DPJJ) précise que le dispositif concerne également les établissements et services relevant du domaine associatif habilité. Les fédérations du secteur, dont la Cnape, s’opposent, via un courrier adressé à la directrice de la PJJ, à l’application de ce programme. D’une part, elles disent gérer, à leur sens, une mission d’intérêt général, et non de service public. D’autre part, les structures associatives estiment réaliser actuellement un travail similaire de refonte de leur système d’évaluation sous la tutelle de la Haute autorité de santé (HAS).
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La CNAPE défiante
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