Une circulaire du 31 juillet précise les conditions de la contribution des agences régionales de santé (ARS) et des professionnels à la mise en œuvre du plan de lutte contre les violences scolaires. Le texte rappelle en particulier et à plusieurs reprises aux ARS que « la question de la violence scolaire ne doit pas être confondue avec le suivi d’enfants en situation de handicap ». La réponse graduée doit se faire sur trois niveaux : d’abord au niveau de l’équipe éducative, ensuite avec les autres professionnels de l’Education nationale tels que le psychologue scolaire ou le médecin scolaire et enfin en faisant intervenir des professionnels spécialisés. « C’est ce niveau qu’il revient aux ARS d’organiser, en lien avec les acteurs concernés du territoire, lorsque le besoin en est exprimé par les inspections académiques ou le rectorat », indique la circulaire.
Un point d’étape entre le ministère et les ARS sera effectué en décembre prochain.
Circulaire du 31 juillet 2019, NOR : SSAZ1922997C, disp. sur circulaires.legifrance.gouv.fr.