Suite au discours d’Édouard Philippe le 12 juin, une quarantaine d’organisations (dont la Fondation Abbé Pierre, ATD quart monde et l’Armée du Salut) ont exigé, le 17 juin, un traitement « systémique de l’urgence sociale et écologique » de la part du gouvernement. Ces associations regroupées autour du Pacte écologique et social – elles étaient neuf à son lancement, contre 43 aujourd’hui – ont mis en exergue huit mesures prioritaires. Parmi elles, l’interdiction de la location de logements indignes et de « passoires énergétiques », la revalorisation des minima sociaux, ou encore l’évaluation de l’impact de la toute nouvelle loi sur les 10 % les plus pauvres. Les 66 propositions du Pacte seront présentées dans le détail « à la rentrée », tandis qu’un « Observatoire du pouvoir de vivre » sera créé pour suivre leur mise en œuvre.
Panorama de l’actualité
Pour des mesures d’urgence sociales et écologiques
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