Evaluées le 6 juin 2019, deux des cinq recommandations du rapport d’urgence du Comité de Lanzarote de mars 2017 ne sont pas satisfaites. La recommandation relative à la vérification des antécédents des personnes en contact régulier avec les enfants victimes de la crise migratoire ne serait que partiellement mis en œuvre par huit pays sur les 41 Etats parties : Finlande, Islande, Liechtenstein, Slovénie, Suède, Ukraine, Macédoine du Nord et Moldavie. Ces deux derniers Etats sont également en retard au niveau des mesures qui visent à éviter les risques d’abus ou d’exploitation de l’enfant en cas de regroupement familial.
Rapport du Comité de Lanzarote du 6 juin 2019, disp. sur rm.coe.int.