Les associations Genepi, Act Up et Acceptess-T, accompagnées d’une trentaine de signataires, dénoncent, dans un communiqué diffusé le 17 mai, la « discrimination particulièrement alarmante que subissent les femmes transgenres incarcérées en France ». Les revendications des femmes transgenres enfermées à la maison d’arrêt des hommes de Fleury-Mérogis y sont listées. Souvent placées à l’isolement « au motif de leur sécurité », ces dernières demandent « un accès hebdomadaire au sport, au même titre que les autres détenus », « l’accès au travail en atelier, possiblement en mixité », ou encore « l’accès aux mêmes cours, formations et activités que les détenus hommes ». Elles souhaitent surtout être affectées à un quartier correspondant à leur genre.
Panorama de l’actualité
Agir contre la transphobie
Article réservé aux abonnés