Les 6 et 7 avril se sont tenues les premières assises nationales des violences faites aux jeunes filles et aux femmes dans les outre-Mer, à Paris. Ces assises ont été l’occasion d’exprimer la nécessité d’inclure les territoires d’outre-mer dans les nouveaux outils de lutte contre les violences faites aux femmes, alors que les taux d’agressions sexuelles, notamment, y restent plus élevés qu’en métropole. Les problématiques socio-économiques s’ajoutent à un manque d’infrastructures de mise à l’abri et de moyens d’accompagnement pour les femmes victimes de violences. Une audience devrait être sollicitée auprès de la secrétaire d’État Marlène Schiappa, au cours de laquelle sera remis un livre blanc des associations impliquées.
Panorama de l’actualité
Assises nationales des violences faites aux femmes
Article réservé aux abonnés