A la suite d’un courrier du 8 mars co-écrit par plusieurs détenus – en grève de la faim pour certains – du centre de rétention administrative de Rennes, qui considéraient être traités comme des « animaux », la Cimade a appelé le gouvernement à prendre des mesures d’urgence « pour mettre fin à l’enfermement en rétention des personnes étrangères vulnérables », et à un « changement radical de politique » qui permette le respect de leurs droits fondamentaux.
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Rétention administrative
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