Le Collectif des associations unies pour une nouvelle politique publique du logement des personnes sans abri et mal logées (CAU) devait rencontrer le Premier ministre, le 28 novembre. Il espérait le convaincre de donner de vrais moyens au dispositif « Logement d’abord », à contrepied des plans d’économie qui s’imposent actuellement au logement social et aux centres d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS). Il réclame notamment « la pérennisation de plusieurs milliers de places d’hébergement au sortir de l’hiver » en lieu et place des solutions « temporaires et précaires de mise à l’abri » qui tendent à se multiplier ces dernières années.
Panorama de l’actualité
Le cau demande des solutions durables
Article réservé aux abonnés