L’affaire Genepi – du nom de cette association qui intervient dans les prisons pour des actions sociales qui s’est vu retirer ses subventions pour « divergence politique » selon Nicole Belloubet – rebondit (voir ASH n° 3082 et 3083). En effet, une lettre ouverte, signée par plus de 50 associations et fédérations (dont les Petits frères des Pauvres, la Cimade, Emmaüs, Aides, la Fédération des acteurs de la solidarité) demande à la garde des Sceaux de revenir sur sa décision. Les signataires rappellent ainsi que « sanctionner une association critique qui est témoin des conditions de détention dans les prisons françaises est un fait grave et un déni de démocratie », et soulignent qu’il s’agit d’un « très mauvais signal » pour l’engagement de la jeunesse dans les associations.
Panorama de l’actualité
Le monde associatif se mobilise pour GEnEpi
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