Le campement du square Daviais, dans le centre-ville de Nantes, où se trouvaient près de 700 exilés, a été évacué le 20 septembre. Quatre associations avaient assigné en justice les autorités pour les obliger à prendre des mesures d’urgence sanitaire. La mairie souhaite que la prise en charge des migrants, hébergés dans des gymnases, soit suivie d’« un relais de l’Etat début octobre ». Répartition sur des communes voisines, expulsion du territoire ou remise à la rue : leur devenir est encore indéterminé.
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