Organisé par l’Association française pour la recherche sur la trisomie (AFRT), un colloque, qui s’est tenu les 22, 23 et 24 mars à l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, dans le cadre de l’édition 2018 de la Journée mondiale de la trisomie 21, a mis en lumière deux éléments. D’une part, le taux de naissance d’enfants trisomiques tend à diminuer en raison de la fiabilité grandissante des tests de dépistage dont le résultat amène à un recours plus fréquent à l’avortement. De l’autre, parce qu’il est un handicap plus lourd et plus visible, l’intégration des trisomiques est plus difficile que celle des autres personnes handicapées. Explications.
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Trisomie 21 : l’impossible inclusion ?
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