Les rencontres de l’Association nationale des directeurs et cadres d’ESAT, qui se sont tenues les 19 et 20 mars à Paris, ont été l’occasion de faire le point de la situation des établissements et services d’aide par le travail. Il apparaît qu’avec des hésitations, des lenteurs et des obstacles, ces structures accueillent de plus en plus de personnes handicapées et ont un mode de fonctionnement proche des entreprises classiques. Les différences ne sont pas gommées, mais intégrées, ce qui favorise l’accès des personnes handicapées au marché du travail, l’ESAT n’étant pas une finalité, mais un passage nécessaire.
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Vers la normalisation ?
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