Depuis 2005, trois plans nationaux sur les troubles du spectre autistique (TSA) se sont succédé. Le dernier en date – 2013 à 2017 – avait pour fil rouge l’application des recommandations de bonnes pratiques. Ont ainsi été créées les unités d’enseignement en maternelle, et l’accent a été mis sur le triptyque « repérage, diagnostic, interventions précoces » auprès des enfants. Et les associations de familles sont largement restées sur leur faim, telle Sésame autisme (voir l’interview de Christine Meignien, ci-contre). Le quatrième plan est désormais attendu pour la mi-mars, nous a indiqué une source ministérielle. La Cour des comptes vient de rendre à son tour sa copie, juste à temps pour que les ministères en tiennent compte. Elle conclut sur l’idée que si le quatrième plan est un succès, il n’y aura pas besoin d’un cinquième. On ne peut souhaiter mieux.
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PAS DE cinquième élément ?
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