dénonce, dans un communiqué du 23 octobre sur le PLFSS, des mesures d’économie qui frapperont « les plus vulnérables » (hausse du forfait hospitalier, baisse du plafond et de l’allocation de base de la prestation d’accueil du jeune enfant…). Elle propose des modifications du texte, comme l’extension du principe de liberté d’affectation des résultats à tous les établissements et services sociaux et médico-sociaux (ESSMS) signataires d’un contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens (CPOM) obligatoire. Elle critique aussi « l’absence d’analyse de l’impact » des mesures envisagées, « la faiblesse de la concertation » et « l’absence de prise en compte des objectifs et de l’état d’avancement des réformes en cours ».
Côté cour
En bref – L’Uniopss
Article réservé aux abonnés