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Quand les parents deviennent universitaires

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La parentalité est l’objet de toutes les attentions. On la décrit, on la dissèque, on lui adresse menaces et incantations, mais on entend peu les parents s’exprimer à son propos, particulièrement ceux des milieux modestes. D’où l’intérêt des universités populaires de parents : permettre à ceux qui le désirent de réfléchir et d’agir ensemble sur leur rôle et leur place.

« Prouver que nous ne sommes pas des parents démissionnaires, mais des parents qui ont la “niaque” et qui veulent faire évoluer les mentalités et les idées préconçues », surtout celles des professionnels « qui n’accordent pas aux parents leur vraie place de parent ». Telle est la motivation du petit groupe qui s’est constitué en université populaire de parents (UPP) à Laon (Aisne) en 2012. Des parents et des grands-parents d’âges et de cultures différents se sont ainsi retrouvés deux fois par semaine pendant trois ans au centre social Le Triangle pour réfléchir sur la façon de transmettre des valeurs aux enfants et débattre du fruit de leurs recherches avec d’autres familles et avec les institutions. Parallèlement, des parents du quartier « Plateau de justice » à Epinal ont planché sur la question de l’image de soi dans la transmission. Cela a été l’occasion pour les participants d’examiner leurs faiblesses, les éléments qui les mettent en échec et ne leur donnent pas une image positive d’eux-mêmes, « comme le manque d’argent, l’ignorance du fonctionnement du système, le mépris et la culpabilisation que l’on peut rencontrer face aux institutions ». Cela a aussi permis aux parents de l’UPP vosgienne de pointer les forces sur lesquelles ils peuvent s’appuyer : la famille, la solidarité qu’ils connaissent dans le quartier, « et surtout l’investissement dans un collectif qui permet d’être plus forts, d’être reconnus et entendus ».

La parole aux parents

Dès le départ, l’ambition des membres de l’Association des collectifs enfants-parents-professionnels (ACEPP), qui ont imaginé les universités populaires de parents, était de donner la parole aux parents pour qu’ils apportent leurs points de vue sur la façon dont ils conçoivent leur rôle et en débattent avec d’autres acteurs – élus, enseignants, travailleurs sociaux –, faisant du savoir construit collectivement un outil de leur reconnaissance sur le territoire. « L’idée des UPP a germé au début des années 2000, à un moment où la question de la parentalité était sur le devant de la scène », explique Emmanuelle Murcier, déléguée nationale de l’ACEPP. Des experts très divers cherchaient à définir cette notion. « Mais force était de constater que les parents eux-mêmes étaient absents de la réflexion et que des stéréotypes, idées toutes faites et raccourcis, envahissaient parfois le débat médiatique : les parents de milieu populaire ne “tiendraient” pas assez leurs enfants, renonceraient à l’éducation, seraient à l’origine des comportements inciviques, voire délinquants, de certains jeunes… »

L’ACEPP s’est alors attelée à permettre à des parents de mener des recherches sur la parentalité. Le principe est simple – et la méthodologie rigoureuse et très cadrée. Une UPP est un groupe d’une douzaine de parents – parfois beaucoup moins –, le plus souvent constitué non à l’initiative des parents eux-mêmes, mais d’une organisation préexistante qui porte le projet (centre social, lieu d’accueil petite enfance, club de prévention, collectivité locale…). Ce groupe se réunit pendant trois ans à un rythme qu’il définit lui-même avec un animateur rémunéré – souvent un travailleur social – chargé de créer un climat de confiance et de le pérenniser. Les parents commencent par mettre en commun leurs expériences et leurs questionnements individuels. Puis ils recrutent un universitaire et, à partir de leurs échanges exploratoires, élaborent avec son aide une question de recherche collective et une méthode pour la travailler. C’est ensuite la phase de recueil et d’analyse des données. Enfin, avec le support de leur recherche, les « uppépéistes » vont à la rencontre des acteurs locaux et d’autres familles pour mettre leur réflexion en débat et entreprendre des actions susceptibles de contribuer à faire évoluer le regard des institutions sur les parents et à promouvoir leur place et leur rôle.

Depuis le lancement des premières universités populaires de parents en 2005, 31 ont été créées en France(1) et une quinzaine d’autres devraient démarrer fin 2016-début 2017(2). 836 parents – des mères neuf fois sur dix – participent ou ont participé à l’aventure au moins ponctuellement, dont un noyau dur de 432 très régulièrement. Dès le départ, « nous avions pour souci prioritaire que les parents des milieux populaires, ceux qui étaient éloignés du savoir officiel, trouvent leur place dans ces universités populaires, explique Emmanuelle Murcier. Nous craignions que ce projet soit accaparé par les parents à l’aise avec les apprentissages. Or, si des manières de vivre la parentalité restent inaudibles, ce sont bien celles des parents des quartiers populaires. »

Ces craintes ont été déjouées : les parents les plus démunis socialement sont ceux qui s’investissent le plus. Parmi les participants réguliers, plus de la moitié sont d’origine étrangère, 45 % ont un niveau d’études inférieur à la troisième, 35 % seulement sont en emploi – dont un peu moins de la moitié à temps partiel. « Les parents en difficulté souffrent beaucoup de stigmatisation et ont quelque chose de très fort à défendre en termes de dignité et de place dans la cité à gagner, commente la responsable de l’ACEPP. Il y a aussi le mode d’implication où ces parents se retrouvent beaucoup, car nous ne sommes pas du tout sur le mode du conseil et, en décalage avec le travail social, nous n’avons pas de mandat. Nous expliquons simplement aux intéressés que nous avons besoin d’eux car ils ont une expertise de la parentalité en milieu populaire que nous n’avons pas. » « Nous savons que nous allons être entendus, ça nous donne envie de nous investir », résume Aurore Fourmond, mère de l’UPP des Minguettes à Vénissieux (Rhône)(3). « Trois ans de recherche, ça peut paraître long, mais on ne les voit pas passer, assure-t-elle. Les parents s’impliquent quand ils sont pris au sérieux. »

Un projet ambitieux

Dans les réseaux d’écoute, d’appui et d’accompagnement aux parents (REAAP), on dit souvent qu’il n’est pas facile de mobiliser les familles, relève Florence Berruer, conseillère technique « parentalité » à la caisse d’allocations familiales (CAF) de la Manche, qui a initié l’UPP d’Avranches en 2009 et l’a accompagnée, avec la ville, au plan logistique et financier. « En fait, c’est parce qu’on part toujours d’une difficulté et qu’on cible un public particulier qui a tel problème. Mais c’est très discriminant, les gens n’ont pas forcément envie de venir pour qu’on les repère. L’UPP, à l’inverse, c’est vraiment donner la parole aux parents et les valoriser, leur proposer un projet ambitieux – un travail de recherche avec un universitaire – en leur disant qu’ils sont capables de le réaliser. Ils ont enfin une place, ils sont importants, alors ils s’accrochent. Et ça résout aussi plein de difficultés individuelles. » Florence Berruer a ainsi pu constater que, si le nombre de participants à l’UPP d’Avranches était fluctuant – quinze au début, cinq ou six les derniers temps –, c’est notamment parce que, chemin faisant, certains ont trouvé du travail.

« L’université, d’habitude, ce n’est pas notre niveau, on veut plutôt nous renvoyer à l’école, histoire de nous apprendre les bases. Là, on nous a demandé de jouer dans la cour des grands : notre savoir est important, comme celui des scientifiques ! », applaudissent les mères du collectif Paroles de femmes Rhône-Alpes, qui ont monté une UPP dans le sud de l’agglomération lyonnaise en 2006(4). « Emballées » par le fait de devenir chercheures, les « uppépéistes » de Pierre-Bénite et de Saint-Genis-Laval (Rhône) ont planché sur la question de l’échec scolaire. « On pensait – la fameuse intuition des femmes – que nos enfants dits “décrocheurs” étaient en fait décrochés ! » Une hypothèse que les 16 chercheures ont creusée – et confirmée – avec l’aide de « leur » universitaire, le sociologue Daniel Thin – « ni spécialiste apportant un savoir déjà constitué […], ni expert en méthodologie », mais simple « accompagnant aidant à l’accouchement des savoirs sur le “décrochage scolaire”, à leur systématisation et à leur organisation cohérente »(5). Des savoirs qui ont trouvé un écho positif auprès des instances locales de l’institution scolaire, au point que les « uppépéistes » sont passés du statut de « parents démissionnés » à celui de « parents missionnés » pour intervenir dans la formation des enseignants.

Ecole et réussite éducative, enfants en situation de handicap, image des quartiers populaires et de leurs habitants, transmission des valeurs… Au-delà de la diversité des questions relatives à la parentalité que les UPP choisissent de traiter, c’est toujours le dialogue parents-institutions qui est au cœur des préoccupations. Qui dit dialogue, dit aussi malentendus et incompréhensions. C’est sans doute particulièrement vrai dans le domaine de la protection de l’enfance, sur lequel deux UPP ont travaillé ces trois dernières années avec l’aide d’institutions spécialisées du secteur : l’une à Albertville (Savoie), soutenue par l’association Le Gai logis, qui a réuni quatre parents (deux pères et deux mères) ; l’autre à Lyon, montée par l’association Acolade, à laquelle cinq mères et un père ont participé. « Imaginer une aventure UPP pour des parents d’enfants confiés aux structures de notre association a été le fruit d’une rencontre avec l’ACEPP sur des valeurs communes : la coéducation parents-professionnels », explique Frédérique de Ciantis, directrice opérationnelle d’Acolade. Mais il a fallu du temps pour constituer le petit groupe de parents – alors qu’Acolade accompagne 300 situations d’enfants et de familles. « Nous, parents de la protection de l’enfance, nous sentons étiquetés, contrôlés, disqualifiés, et nous avons le sentiment d’une relation de substitution et non de complémentarité avec les professionnels, qui sont insuffisamment à notre écoute pour nous reconnaître dans notre rôle de parent », explique Kadiatou M’Bah.

D’ailleurs, l’enquête des « uppépéistes » d’Acolade a eu notamment pour objet d’identifier les freins à une meilleure coopération, tels que les voyaient, d’une part, des familles et, d’autre part, des professionnels. Cependant, les points de vue de ces derniers ne sont pas représentatifs, regrettent les chercheurs. En effet, ceux qui acceptent de répondre sont déjà intéressés par les relations avec les parents. Frédérique de Ciantis se montre néanmoins enthousiaste. Elle juge le résultat de la démarche très positif, avec un « effet papillon » sur l’ensemble des équipes d’Acolade à qui les parents de l’UPP ont présenté leur recherche. « Chez nous, les parents ont maintenant leur place dans tous les projets : on pense systématiquement leur participation et on essaie de la développer, il y a quelque chose de complètement changé dans les postures professionnelles », déclare-t-elle. Quant à la Métropole de Lyon, elle a inscrit la place des parents comme deuxième objectif en matière de protection de l’enfance dans son schéma départemental. A partir de leur recherche, les « uppépéistes » ont réalisé diverses actions, comme la fabrication du livret d’accueil d’un établissement et des interventions dans des centres de formation de travailleurs sociaux. Il y aura aussi, au début 2017, des formations croisées de parents de l’UPP d’Albertville qui iront à la rencontre de professionnels de la protection de l’enfance de Lyon, tandis que ceux d’Acolade se rendront auprès de professionnels de Savoie.

Essaimage

De fait, l’une des originalités de la démarche des universités populaires de parents est que le travail collectif ne cesse pas avec la fin de la recherche. On pourrait presque dire que c’est là que tout commence, ou du moins les « actions citoyennes », selon la terminologie de l’ACEPP. C’est-à-dire que les participants à l’université s’appuient sur leurs recherches pour aller au-devant d’autres parents et des institutions. Leurs travaux sont présentés lors de colloques locaux, mais aussi nationaux et européens, comme celui qui a rassemblé 500 personnes à Sciences Po à Paris en 2008. Cet aspect de diffusion et de valorisation des connaissances est important non seulement pour leurs producteurs, mais aussi parce qu’il constitue un tremplin pour l’essaimage des UPP. C’est souvent dans ces manifestations que des professionnels font connaissance avec le projet et décident de l’implanter sur leur territoire. A Science Po, Magali Jacquet, responsable du travail social à la CAF de la Manche, avait été « bluffée par la qualité des recherches et les questions qu’elles posaient »(6). C’est ainsi qu’est née l’UPP d’Avranches. « En tant que CAF, l’UPP nous permettait d’être plus proches des parents et d’apprendre d’eux. Pour les parents, je pense que, du coup, l’institution est un peu démystifiée, il y a vraiment une rencontre, on est sur un pied d’égalité », estime Sophie Delabrousse, assistante sociale à la CAF, qui a coanimé cette UPP avec la référente « famille » de la ville. « C’est un enrichissement assez considérable au niveau de la pratique professionnelle, y compris quand on retourne dans la relation individuelle », ajoute Sophie Delabrousse.

Symétriquement, l’engagement des « uppépéistes » dans la recherche rebondit dans leur vie personnelle. Et il se poursuit souvent dans l’action. Nombre de participants continuent en effet à s’investir pour faire entendre le point de vue des parents dans l’espace public et construire des partenariats avec les institutions. « Nous sommes parents acteurs, voire parents experts, ça nous donne une autre place par rapport aux professionnels, nous sommes reconnus comme partenaires », déclare Corinne Becker de l’UPP de Laon. Les exemples d’implication dans la cité sont nombreux : ainsi la participation de parents à l’évaluation des programmes de réussite éducative, à des groupes de travail municipaux ou à la formation des travailleurs sociaux – neuf universités populaires de parents sont concernées à ce dernier titre, en plus de celles d’Albertville et de Lyon déjà citées. « Faire partie de l’aventure UPP, cela transforme un parent à vie », affirme un « uppépéiste » de Laon. « Au départ, nous venons en tant que parents et à la fin, nous sommes des individus », résume Emmanuelle Régis, de l’UPP de Bègles (Gironde).

Une pléiade d’initiatives parentales

→ Les premières crèches « sauvages » ou « alternatives » ont été créées à la fin des années 1970 par des parents confrontés à la pénurie de modes d’accueil collectif. Ces crèches fonctionnaient sous la responsabilité des parents qui y assuraient une présence à tour de rôle auprès des enfants, en complément de salariés permanents.

→ Début 1981, les associations de parents intitulées « Collectifs enfants parents » mettent en place une instance chargée de défendre leurs intérêts : l’Association des collectifs enfants-parents (ACEP).

→ En août 1981, une circulaire reconnaît l’existence des « crèches parentales » et définit leurs modalités d’agrément. Ces crèches sont gérées par les parents qui en assurent la responsabilité morale et administrative, cependant que la responsabilité pédagogique est confiée à un(e) professionnel(le) de la petite enfance justifiant d’une compétence reconnue par un diplôme (puériculture, éducation de jeunes enfants).

→ Notamment soutenues par la CNAF et la Fondation de France, les crèches parentales se développent rapidement : elles passent de 30 en 1982 à 650 en 1990.

→ A la suite de plusieurs assemblées générales consacrées à débattre de la place des professionnels dans le dispositif des crèches parentales, l’ACEP s’adjoint un deuxième « P » et devient en 1990 l’Association des collectifs enfants-parents-professionnels (ACEPP), pour valoriser le partenariat avec ces derniers.

→ La circulaire régulant l’existence des crèches parentales s’efface en juin 2000 au profit d’un nouveau décret harmonisant les droits et les devoirs de l’ensemble des modes d’accueil.

→ En 2016, l’ACEPP regroupe 800 structures : des crèches à participation parentale, mais aussi de multiples autres projets autour de la parentalité comme des centres de ressources et des maisons des parents (parfois itinérants), des cafés de parents, des lieux passerelles, des relais assistantes maternelles, des accueils périscolaires, des jardins d’enfants, des ludothèques, des ateliers intergénérationnels, des universités populaires de parents.

→ 6 400 professionnels et 42 000 bénévoles participent au réseau national de l’ACEPP.

La reviviscence d’une vieille idée

Le concept d’« université populaire » est dû au Danois Grundtvig (1783-1872), pasteur luthérien puis évêque, qui exerça une influence importante sur les conceptions pédagogiques en vigueur au Danemark. En France, les premières universités populaires sont apparues à la fin du XIXe siècle, dans le contexte des lois scolaires de Jules Ferry. Elles étaient conçues à l’intention d’un public adulte n’ayant pas pu bénéficier auparavant de l’instruction publique. « Derrière ces universités populaires, une visée politique », analyse Emmanuelle Murcier, déléguée nationale de l’ACEPP(1). « Il s’agit de donner à la classe ouvrière l’accès au savoir et des outils d’analyse critique pour ne pas être dominée par ceux qui détiennent le pouvoir. » Les universités populaires ont connu un essor très important jusqu’au début du XXe siècle (on en comptait 124 en 1901). Elles sont peu nombreuses à avoir survécu à la Première Guerre et le second conflit mondial entraîna à son tour un lot de disparitions. Depuis les années 1960, on assiste à un renouveau d’universités populaires, très diverses dans leur organisation, leurs objectifs et leurs appellations.

Les universités populaires quart monde, créées en 1972 par ATD quart monde, sont des lieux de dialogue et de formation réciproque entre des adultes vivant en grande pauvreté et d’autres citoyens qui s’engagent à leurs côtés. Les universités populaires de parents (UPP), initiées par l’ACEPP en 2005, s’inscrivent pour une part dans l’héritage des universités populaires du XIXe siècle : « Même idéal démocratique et égalitaire, même souci de relier le travail intellectuel à l’action politique et citoyenne, même adaptabilité qui permet à chaque projet de préserver sa spécificité et son originalité de fonctionnement », explique Emmanuelle Murcier. Les UPP se proposent, d’autre part, comme les universités populaires quart monde, de faire s’exprimer les participants sur des sujets qui les concernent directement et de favoriser la confrontation des points de vue. A la différence de la plupart des universités populaires, dans le cas des UPP, le mot « université » fait directement référence à la fonction de recherche. L’enjeu des UPP n’est pas de diffuser un savoir détenu par des intellectuels, ni de croiser savoirs expérientiels et savoirs scientifiques, mais de permettre à des parents d’effectuer une recherche collective avec le soutien méthodologique d’un universitaire.

Notes

(1) Il y en a également sept en Belgique et quatre en Allemagne.

(2) Un séminaire d’information se tiendra à Paris les 16 et 17 novembre prochains pour toute personne intéressée par la création d’une UPP – www.upp-acepp.com.

(3) Lors du colloque des universités populaires de parents organisé le 30 mai 2016 à Paris – www.acepp.asso.fr.

(4) Dans Universités populaires de parents. Des parents acteurs, chercheurs, citoyens – Ouvrage collectif dirigé par Emmanuelle Murcier – Ed. Chronique sociale, 2010.

(5) Ibid.

(6) Une vidéo de leurs témoignages est accessible sur le site des UPP : www.upp-acepp.com.

(1) Dans Universités populaires de parents. Des parents acteurs, chercheurs, citoyens – Ouvrage collectif dont elle a dirigé la publication – Ed. Chronique sociale, 2010.

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