L’accès aux nouveaux antiviraux d’action directe pour le traitement de l’hépatite C est étendu aux populations vulnérables, conformément à la récente annonce de la ministre de la Santé (voir ASH n° 2962 du 27-05-16, page 8). Deux arrêtés, parus au Journal officiel du 11 juin, prévoient en effet une extension d’indication aux personnes « à risque élevé de transmission du virus » tout stade de fibrose confondu, à savoir : les usagers de drogues avec échange de matériel, les personnes détenues, les femmes en désir de grossesse ou toute autre personne pour laquelle une réunion de concertation pluridisciplinaire estime le risque de transmission élevé.
Veille juridique
En bref – Hépatite C.
Article réservé aux abonnés