« L’insertion des personnes ayant vécu en bidonville n’est pas un enjeu spécifique et propre à une certaine minorité », mais un sujet « classique de lutte contre la grande précarité, et relève de processus, certes longs et fragiles », qui peuvent avoir des résultats. Tel est, pour Sylvain Mathieu, délégué interministériel à l’hébergement et l’accès au logement, l’un des principaux enseignements de l’étude sur les parcours d’insertion des personnes migrantes ayant vécu en bidonville, réalisée par l’association Trajectoires, avec le soutien de la Fondation Abbé-Pierre et de la délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement (DIHAL)(1). Ses résultats, ainsi qu’une autre étude du Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) – non encore publiée – sur l
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