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Animation.

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Lors de la dernière réunion du Conseil national de l’éducation populaire et de la jeunesse, le 16 mars, l’intersyndicale (CGT, CFDT, CFE-CGC, FO, FSU, UNSA) a demandé le report de l’examen pour avis du projet de décret devant pérenniser l’assouplissement du taux d’encadrement des activités périscolaires, instauré par un décret du 2 août 2013 pour une durée de trois ans. Elle conteste la méthode de l’évaluation de la réforme réalisée par le ministère, alors que, selon un sondage effectué par plusieurs organisations syndicales et le Journal de l’animation, « 87 % des animateurs considèrent que les nouveaux taux d’encadrement ont conduit à une dégradation de la qualité éducative des accueils périscolaires ». « L’intersyndicale et les fédérations d’éducation populaire ont à l’unanimité décidé d’écrire au ministre en charge de la Ville, de la Jeunesse et des Sports pour lui demander un entretien sur sa vision politique au sens large de l’animation », précise le Syndicat de l’éducation populaire (SEP)-UNSA dans un communiqué. « Il y a un an et demi, nous avons demandé un chantier sur la professionnalisation de l’animation. Un groupe de travail a été mis en place, qui n’a pas trop avancé », explique Patrice Weisheimer, son secrétaire général. L’enjeu, ajoute-t-il, est, outre « la montée en compétences » du secteur, de lui « donner une transversalité », notamment en étudiant les passerelles entre les champs de la gérontologie et de la jeunesse.

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