publie sa « deuxième étude d’impact social », dans laquelle elle indique que 93 % des personnes accueillies dans ses logements temporaires ont accédé à un logement de droit commun depuis 2010, sachant que ses résidents restent en moyenne trois ans dans les logements. Elle souligne que son dispositif a un coût réduit pour les pouvoirs publics par rapport à d’autres solutions le coût moyen annuel pour une personne dans un logement géré par l’association était en 2014 de 3 560 €, dont la moitié supportée par les pouvoirs publics. Soit 1 823 € à la charge de ces derniers, contre 6 237 € pour l’hébergement hôtelier. L’association explique ce chiffre, qu’elle compare aussi aux autres dispositifs d’insertion par le logement, par ses sources complémentaires de financement (dons), des loyers adaptés aux revenus des locataires (qui couvrent 33 % des coûts), la répartition sur la durée des coûts de la réhabilitation, mais aussi par « l’apport de centaines de bénévoles » qui permet de limiter les dépenses d’exploitation.
Côté terrain
En bref – Solidarités nouvelles pour le logement
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