On voit depuis quelques années arriver de nouveaux acteurs – des start-up et des PME – poussés par la démocratisation d’Internet et des objets connectés qui se saisissent de ces outils pour en faire des leviers d’échange dans le cadre d’activités collaboratives. Je pense au covoiturage ou à la location saisonnière d’appartements entre particuliers. Ces nouveaux entrants du secteur privé commercial surfent en quelque sorte sur ce qui fait l’ADN de l’économie sociale et solidaire (ESS) : le partage, le lien social, la coopération, la mutualisation des outils au profit de la collectivité. Notre convention nationale a permis de montrer que l’ESS est déjà partie prenante de cette économie collaborative, mais cela n’est qu’en germe
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