s’inquiète de la baisse des dotations qui va notamment toucher les 1 300 quartiers prioritaires de la politique de la ville. L’association soutient la mobilisation menée par l’Association des maires de France le 19 septembre dernier contre la diminution de la dotation globale de fonctionnement (DGF) aux communes et demande « un examen particulier » pour les villes de banlieue. Plus globalement, elle réclame une réforme de la DGF pour intégrer dans les critères d’attribution des indicateurs de pauvreté des populations. Par ailleurs, elle déplore que la politique de la ville ne fasse pas l’objet d’un portefeuille dédié. A l’instar du collectif « Pas sans nous ! » qui s’interroge : le « départ [de Myriam El Khomri], tout juste un an après sa nomination, et son non-remplacement signifient-ils la fin de toute priorité pour les quartiers populaires ? »
Côté terrain
En bref – Ville & Banlieue
Article réservé aux abonnés