Interrogée le 24 mars, à l’Assemblée nationale, sur la politique pénale, la garde des Sceaux a indiqué qu’elle avait acté un certain nombre de mesures pour renforcer les services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP). Et que, dans ce cadre, elle allait notamment lancer une recherche-action – regroupant des chercheurs, des universitaires et des professionnels de la justice – qui devra définir des pistes d’amélioration des méthodes de travail des SPIP, des méthodes de prise en charge des condamnés et de l’entretien individuel.
Cette recherche-action sera conduite pendant 18 mois et mobilisera six SPIP, a précisé Christiane Taubira.