Initialement ouvert à la signature jusqu’au 20 février, l’accord-cadre sur la qualité de vie au travail dans la fonction publique, qui prévoit d’offrir notamment des « espaces d’expression » directe des agents sur le contenu et l’organisation de leur travail, une formation améliorée en ressources humaines « pour tous les primo-accédants à des fonctions d’encadrement » ou une meilleure articulation entre vie professionnelle et vie privée, a été rejeté par la majorité des syndicats mettant en cause davantage la politique du gouvernement menée à l’égard de la fonction publique (suppressions de postes...) que l’intérêt même de l’accord. Mais, « compte tenu de l’importance de ce projet », la ministre de la Fonction publique a « décidé de laisser un délai supplémentaire, jusqu’au mois de septembre, aux organisations syndicales non signataires ».
Côté cour
En bref – Fonction publique.
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