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Placement à domicile : une troisième voie ?

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Entre le maintien à domicile et le placement en foyer éducatif ou en famille d’accueil, le placement à domicile est une mesure alternative adaptée à certaines situations familiales. L’accompagnement sur-mesure de la famille, et plus uniquement de l’enfant, suppose une forte implication des professionnels qui doivent savoir évaluer les situations de danger.

Solution intermédiaire entre action éducative en milieu ouvert (AEMO) et suppléance familiale (placement en internat ou en famille d’accueil), le placement à domicile est une mesure de placement singulière : l’enfant confié aux services de l’aide sociale à l’enfance (ASE) continue à être hébergé dans sa famille. Cette formule atypique s’appuie sur deux piliers : une présence soutenue de l’équipe éducative au domicile familial, afin de sécuriser le cadre de vie de l’enfant ; la volonté de restaurer la place des parents en les invitant à entrer dans une démarche de changement. « L’intérêt du placement à domicile consiste à concilier protection de l’enfance et soutien intensif à la parentalité. Il s’agit de protéger l’enfant en danger sans le séparer de sa famille tout en impulsant une dynamique innovante de co-éducation avec les parents », explique Claire Genneret, responsable socio-éducative de l’ASE au sein du conseil général de l’Aube, qui gère le service de placement hors les murs (PHOM).

C’est le département du Gard qui, le premier, a expérimenté, au début des années 1980, ce type de mesure en créant un service d’adaptation progressive en milieu naturel (SAPMN). Au départ destiné à accompagner le retour des enfants dans leur domicile après un placement, le dispositif a été généralisé comme modalité d’intervention à part entière dans les maisons d’enfants associatives et le foyer de l’enfance départemental. Le contexte est alors favorable : à la fin des années 1970, on assiste à une remise en question progressive du placement à partir d’études démontrant son influence potentiellement néfaste sur le devenir des enfants à l’âge adulte. Des recherches plus récentes ont depuis nuancé ces conclusions. Il est toutefois reconnu aujourd’hui que la séparation continue de l’enfant et de sa famille n’est pas toujours nécessaire et que des solutions alternatives peuvent être proposées à condition d’accompagner les parents de manière plus intensive. « On s’est rendu compte que séparer n’était pas forcément la bonne stratégie : les bénéfices pour les enfants et les parents n’étaient pas toujours au rendez-vous et, surtout, aucun travail de soutien parental n’était mis en place », observe Noël Touya, directeur de la maison d’enfants à caractère social (MECS) Saint-Vincent-de-Paul à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), qui dispose d’un service de placement à domicile nommé Groupe d’accueil et d’accompagnement modulable (GAAM). « Cette nouvelle façon de concevoir la protection de l’enfant nous a permis de sortir d’une logique binaire où l’enfant était soit maintenu au domicile parental, mais insuffisamment protégé, soit mis à distance de sa famille, avec un risque d’effets pervers – traumatisme de la séparation, délitement des liens, démobilisation des parents ayant le sentiment d’être dessaisis de leur rôle… », précise Claire Genneret.

DES RÉPONSES PLUS SOUPLES

Forts de cette prise de conscience, « de nombreux services se sont inspirés de l’initiative du Gard qui a fini par essaimer dans plusieurs départements », observe Pascale Breugnot, docteure en sciences de l’éducation et responsable du pôle « formation continue et analyse des pratiques » à l’Ecole supérieure de travail social (ETSUP) à Paris(1). A l’instar du GAAM, né en 1998 sous l’impulsion du conseil général des Pyrénées-Atlantiques, favorable à des réponses plus souples et plus adaptées aux situations des familles. Ou des services d’accueil, de protection, de soutien et d’accompagnement à domicile (Sapsad) créés en 2004 sous la houlette du conseil général du Vaucluse : « Leur constitution a répondu à la nécessité d’accroître les ressources de notre département qui manquait de solutions de placement et d’élargir notre palette de prise en charge en favorisant l’axe de la parentalité », observe Michel Eymenier, directeur « enfance-famille » du département(2). La même année, le conseil général de l’Aube se lance aussi dans l’aventure : « Dès la mise en place empirique du PHOM, nous avons bénéficié de l’adhésion des magistrats et d’une forte motivation des professionnels de terrain qui ont trouvé cette modalité très intéressante. Ce qui a conduit le département à valider l’expérimentation du dispositif dès 2005, puis à le pérenniser un an plus tard », raconte Claire Genneret.

En 2006, l’Observatoire national de l’enfance en danger recensait une trentaine de conseils généraux impliqués dans cette approche. La réforme de la protection de l’enfance du 5 mars 2007 a, depuis, conforté les orientations prises par les services de placement à domicile en matière de diversification des réponses et d’appui aux compétences parentales. « Aujourd’hui, s’il semble avéré que les expériences de placement à domicile se poursuivent et même se développent, les données manquent pour en avoir le décompte exact », souligne Pascale Breugnot.

Les services ont choisi des appellations très diverses, qui reflètent l’hétérogénéité des modes de fonctionnement (voir encadré ci-contre). Afin de mieux repérer les pratiques à l’œuvre, les acteurs du placement à domicile des Bouches-du-Rhône ont, à la demande du conseil général, élaboré un référentiel précisant notamment les caractéristiques de l’intervention et les exigences professionnelles requises (ratio d’encadrement, formation…). « Il n’a pas mis fin aux singularités des services, mais il a fourni un cadre partagé et a permis d’adopter une posture commune », explique ainsi Marianne Antunes, directrice de la MECS des Marcottes à Rognac, qui dispose d’un service de suivi éducatif à domicile depuis 2010. Cette aspiration à l’harmonisation n’est pas isolée, comme le prouvent les rencontres professionnelles récemment organisées sur le placement à domicile(3).

Il est vrai que, par-delà les différences, les professionnels du placement à domicile partagent un positionnement et des préoccupations identiques. Ils pratiquent en particulier un accompagnement sur-mesure. « Au début, le PHOM peut mettre en place jusqu’à 20 heures d’intervention par semaine – avec un éducateur ou un assistant social et deux TISF [techniciens de l’intervention sociale et familiale] en alternance –, mais, au fur et à mesure que la famille se remet en mouvement, nous prenons avec elle la décision d’alléger le dispositif pour laisser place à un processus d’autonomisation », explique Claire Genneret. « Les visites à domicile s’adaptent à la dynamique familiale : elles sont plus nombreuses en cas de crise, moins quand le climat est à l’accalmie », souligne également Marianne Antunes. Les professionnels travaillent, par ailleurs, sur les matériaux que le jeune ou la famille amènent, ce qui explique la variété du contenu de l’intervention : simple discussion, aide à la gestion des repas, accompagnement vers des dispositifs de droit commun en matière de scolarité, de soins… « Nous prenons la famille là où elle en est et nous ajustons notre action en fonction des priorités – procédure d’expulsion, difficultés financières importantes… », explique Mireille Vion, responsable du service d’accompagnement éducatif en famille (SAEF) au sein de la Providence Saint-Dizier à Caluire-et-Cuire (Rhône). « C’est une aide globale qui va porter, selon les cas, sur les tâches quotidiennes et l’éducation de l’enfant, mais aussi sur les démarches administratives, juridiques, l’aide à la gestion du budget… », complète Claire Genneret.

JUSQU’OÙ ALLER ?

L’intensité de l’intervention (parfois trois ou quatre demi-journées hebdomadaires pendant six, douze, dix-huit mois, voire davantage) entraîne un accès très important des professionnels à l’intimité des familles – beaucoup plus qu’en milieu ouvert. Cette ingérence dans la sphère privée familiale, qui s’accompagne d’une forte implication physique et émotionnelle de leur part, interroge la bonne distance à mettre en place par rapport aux usagers. « Jusqu’où aller ? Quelles sont les limites des équipes mais aussi des familles et des enfants à supporter ce fonctionnement ? Si la proximité est évidente, il faut être vigilant pour qu’elle ne se transforme pas en promiscuité », avance Pascale Breugnot. « Pour que notre présence ne soit pas ressentie comme une intrusion, il est très important de créer une relation de confiance. Cela passe par des précautions toute simples : s’installer là où la famille le propose, ne visiter la maison que sur son invitation… », observe Mireille Vion. « Pas question d’arriver comme des cow-boys malgré notre mandat de protection ! Il faut prendre le temps de l’apprivoisement réciproque pour que les parents osent expérimenter d’autres postures éducatives et relationnelles avec leurs enfants et trouver leurs solutions aux difficultés qu’ils rencontrent : nous recherchons avant tout des compromis coconstruits avec eux », précise Claire Genneret.

De fait, et c’est un autre motif récurrent des services de placement à domicile, les compétences parentales sont placées au cœur de l’intervention. « Il s’agit de sortir de l’attention exclusive à ce qui ne va pas pour s’intéresser à ce qui marche, à savoir aux capacités et aux habiletés parentales, ce qui suppose de modifier le regard porté sur les familles », souligne Pascale Breugnot. « Les parents ont certes des carences et des déficiences, mais ils ont aussi des savoir-faire et une expérience sur lesquels les professionnels doivent s’appuyer en abandonnant leurs prérequis, renchérit Michel Eymenier. Nous avons très souvent des surprises avec des parents qu’on pensait peu autonomes et qui font preuve d’une grande capacité grâce à l’étayage proposé. » « Même en grande difficulté et alors qu’elles se sentent disqualifiées par la décision de placement, ces familles ont des ressources », martèle également Claire Genneret.

FORT INVESTISSEMENT

Selon cette dernière, « il y a cependant encore un énorme travail à faire pour que les travailleurs sociaux, à qui on a appris à se considérer comme des experts, changent de posture, renoncent à leur toute puissance et acceptent de travailler non pas « sur » les familles mais “avec” elles ». La responsable du PHOM voit dans le placement à domicile « une pratique extrêmement mobilisatrice et passionnante qui redonne de l’enthousiasme ». « C’est un grand bol d’air, constate également Noël Touya. Elargir le spectre d’intervention des professionnels d’internat éducatif à la famille et leur permettre de sortir de l’institution ont permis de redonner du sens à leur travail à un moment où ils connaissaient une dévalorisation par rapport aux travailleurs sociaux exerçant en milieu ouvert. »

Mais cela se fait au prix d’un fort investissement : les intervenants sont amenés à faire preuve d’une grande souplesse organisationnelle pour intervenir le soir, tôt le matin et pendant les vacances scolaires, soit les moments où les enfants sont chez eux. Afin de pouvoir répondre en urgence en cas de danger, les services sont par ailleurs soumis à un système d’astreinte. « On peut nous contacter à n’importe quel moment du jour ou de la nuit toute l’année », précise Claude Robin, à la fois directeur de la MECS des Matins bleus à Saint-Rémy-de-Provence (Bouches-du-Rhône), qui dispose d’un service de soutien éducatif en famille, et responsable d’un Sapsad. « Il a fallu de longs mois pour faire admettre à mes collègues de MECS que le travail à domicile n’était pas “la planque” », estime Marie-Aimée Pignatel, éducatrice spécialisée au service de suivi éducatif à domicile de la MECS des Marcottes.

L’intervenant, ne bénéficiant plus du contenant psychique d’un terrain institutionnel balisé (internat éducatif ou famille d’accueil), a d’autant plus besoin d’une analyse des pratiques ou d’une supervision. « Nous proposons cinq heures d’analyse par mois effectuées par un psychologue clinicien extérieur qui, au-delà de l’approche psychanalytique stricto sensu, nous permet en particulier l’apprentissage des outils de la systémie », explique Marianne Antunes. Pour cette dernière, il se révèle également indispensable que les professionnels s’inscrivent dans une démarche de formation continue (soutien à la parentalité, développement du potentiel d’écoute…) afin d’être en capacité de bien comprendre les situations, ce qui est essentiel pour estimer les besoins d’accompagnement et évaluer le danger.

En cas de crise familiale, l’éducateur référent doit être en mesure d’évaluer rapidement l’opportunité d’une mise à l’abri – les services ont tous une possibilité d’hébergement immédiat (lits ou familles d’accueil) pour éloigner l’enfant du domicile. « Sa proximité avec la famille permet une appréciation très nuancée des événements mais le responsable de l’équipe et le psychologue, plus distanciés par rapport à ce qui se déroule au domicile, ont également un rôle à jouer : le croisement des regards est indispensable », précise toutefois Claire Genneret.

Mais au-delà, les professionnels doivent « en permanence se demander si le placement à domicile est suffisant ou s’il faut réorienter l’enfant vers un placement classique qui sera plus protecteur », observe Pascale Breugnot. Ce qui pose, selon elle, la question de l’indication de la mesure : « Ces services s’adressent à des familles fragilisées, précarisées et isolées. Mais propose-t-on ce type de réponse à celles qui ont épuisé toutes les interventions possibles ? A celles qui refusent toutes modalités d’intervention en milieu ouvert ou dans le cadre d’un placement traditionnel ? Aux familles “en voie de convalescence” après un placement classique pour sécuriser et accompagner le retour des enfants ? En première indication, à celles qui ont été repérées en amont en vue d’éviter un placement futur ? » « Ce n’est pas une mesure lambda pour dépanner lorsqu’il n’existe pas d’autres solutions. Il ne faut pas oublier le risque de danger pour l’enfant », met aussi en garde Michel Eymenier.

Selon lui, il existe des contre-indications formelles, notamment lorsque l’enfant a été victime récemment de maltraitance physique ou d’agression sexuelle au sein de sa famille ou que les parents ont des troubles psychiatriques non stabilisés. Pas question donc « d’en faire une réponse unique : le placement à domicile doit rester une solution parmi d’autres », poursuit Michel Eymenier. « Ces services n’ont pas vocation à remplacer l’internat éducatif, renchérit Noël Touya. Ils sont adaptés à certaines familles qui, soutenues, peuvent faire face à leur responsabilité parentale. D’autres ne le peuvent pas. C’est pourquoi il y a la place pour un large spectre de solutions intermédiaires qui va de la suppléance à la co-éducation. Aux magistrats et aux services de l’aide sociale à l’enfance d’opter pour le dispositif qu’ils estiment le plus judicieux. »

Cadre juridique

Le placement au domicile est une mesure de protection prise soit par l’aide sociale à l’enfance (ASE) dans le cadre d’un accueil provisoire administratif contractualisé avec les parents, soit par le juge des enfants dans le cadre de l’assistance éducative. Dans le premier cas, l’enfant reste au domicile de ses parents, sachant qu’un hébergement hors du domicile peut être organisé à la demande des parents ou en accord avec eux. Dans le second cas, le juge qui confie l’enfant à l’ASE précise, dans son ordonnance, que cette mesure de placement pourra s’exercer sous la forme d’un hébergement quotidien au domicile des parents, sauf en cas de difficulté nécessitant un changement immédiat des modalités d’hébergement dont il lui sera fait rapport sans délai.

Des choix d’organisation hétérogènes

Si la plupart des dispositifs sont adossés à un établissement éducatif en gestion associative (ou plus rarement à un service de placement familial associatif), ils peuvent être gérés directement par le conseil général. C’est le cas du placement hors les murs (PHOM) dans l’Aube, qui reste cependant une exception. Les services fonctionnent généralement en interdisciplinarité – avec principalement des éducateurs spécialisés (certains services s’appuient presque exclusivement sur eux), mais aussi des psychologues et des assistants sociaux et, parfois, des conseillers en économie sociale et familiale, des éducateurs de jeunes enfants, des animateurs, des médiateurs familiaux…, voire pour le PHOM, des techniciens de l’intervention sociale et familiale. Les TISF « ont non seulement l’habitude d’intervenir au domicile des familles mais le soutien à la parentalité fait partie de leurs champ d’intervention », justifie Claire Genneret, la responsable.

L’intensité et les formes de l’intervention diffèrent également : en plus des visites à domicile, qui constituent le cœur de l’action des services, et des entretiens réguliers avec les enfants et/ou les parents, seuls certains dispositifs proposent des activités collectives. « Nous nous adressons surtout à des familles isolées, souvent monoparentales, qui ont besoin de créer des liens sociaux qui seront autant de ressources lorsque la mesure sera terminée. Aussi proposons-nous sorties, ateliers et rencontres autour de problématiques éducatives avec des professionnels – avocat, médecin, acteur de la lutte contre les violences conjugales… – dans une perspective d’empowerment des familles », précise Claire Genneret. Des services mettent, par ailleurs, en place des temps de répit pour les parents sous la forme d’accueil séquentiel des enfants en établissement. Enfin, si la plupart d’entre eux s’adressent à des mineurs de plus de 7 ans, d’autres ont fait le choix de cibler les moins de 6 ans. « C’est lorsque l’enfant est petit que la séparation se révèle la plus lourde de conséquences, estime Claire Genneret. En outre, plus la prise en charge est précoce, plus les parents sont mobilisables car les situations sont moins enkystées ».

Une modalité d’intervention discutée

« Le placement à domicile suscite encore des questionnements : c’est d’ailleurs sûrement le dispositif qui a fait le plus débat lors des groupes de travail ayant précédé la réforme de la protection de l’enfance de 2007 », affirme Pascale Breugnot, chercheuse en sciences de l’éducation. Selon elle, ces réticences sont en partie liées à la contradiction inhérente au dispositif, à savoir que « l’enfant est placé mais vit au domicile des parents : dans ces conditions, certains se demandent pourquoi il ne serait pas plus judicieux de mettre en œuvre une action éducative en milieu ouvert renforcée ou avec hébergement ».

La Convention nationale des associations de protection de l’enfant (CNAPE) se montre ainsi « réservée » concernant cette approche : « Il nous semble que le placement à domicile ainsi désigné n’est clair ni pour l’enfant ni pour les parents : il peut brouiller la représentation du danger pour la famille, qui peut le minimiser, et l’enfant peut douter de la raison d’être de sa protection et de son efficacité », explique Laure Sourmais, responsable du pôle « protection de l’enfance » à la CNAPE.

Pour de nombreux acteurs de la protection de l’enfance, plus que le dispositif en lui-même, c’est surtout l’expression « placement à domicile » qui se révèle imparfaite, voire inappropriée : « Comment peut-on être placé à domicile ? L’expression mériterait d’être repensée tant elle est paradoxale », estime Marianne Antunes, directrice de la maison d’enfants à caractère social des Marcottes à Rognac (Bouches-du-Rhône).

Notes

(1) Auteure de Les innovations socio-éducatives. Dispositifs et pratiques innovants dans le champ de la protection de l’enfance – Ed. EHESP, 2011 – Voir l’interview de Pascale Breugnot, ASH n° 2733 du 18-11-11, p. 30.

(2) Voir notre reportage dans le Vaucluse, ASH n° 2590-2591 du 9-01-09, p. 38.

(3) « Placement dit « à domicile », un vrai plus, un risque de plus ? », les 2 et 3 octobre 2014, à l’initiative de l’Anpase et « Le PEAD en Finistère : déjà 10 ans ! Aide ou contrainte ? Le placement éducatif à domicile en questions », le 2 décembre 2014 à l’initiative de l’ITES de Brest.

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