qui permet de réunir autour de l’acte la victime, l’auteur des faits et des membres de son environnement proche dans un objectif de responsabilisation, de réparation et de réconciliation, tarde à émerger en France.
Car, selon Les Cahiers dynamiques, « aussi séduisant que ce dispositif paraisse, il impose toute une série de conditions de principe et matérielles ». Que manque-t-il pour effectuer ce changement de paradigme ?, s’interrogent les auteurs du dossier, pour qui ce modèle de justice alternative serait « particulièrement efficace pour réduire la récidive des mineurs délinquants ». L’intérêt de cette pratique est mis en avant à travers de nombreux exemples et expériences en France comme à l’étranger.
N° 59 – Septembre 2014 – Ed. érès – 12,50 €.