Poursuivre la structuration des services à la personne, notamment «en filières, pour permettre la circulation transversale des salariés entre les trois composantes des services à la personne (services aux personnes handicapées et dépendantes, services à la petite enfance, services de confort)».
C’est ce que recommandent, entre autres, les députées Martine Pinville (PS, Charente) et Bérengère Poletti (UMP, Ardennes) dans leur rapport sur l’évaluation du développement des services à la personne (disp. sur
Un rapport qui s’inscrit dans la continuité de celui de la cour des comptes, remis en juillet dernier au comité d’évaluation et de contrôle des politiques publiques de l’Assemblée nationale (voir ASH n° 2869-2870 du 18-07-14, page 9). Les élues suggèrent, par ailleurs, de «développer l’ouverture de l’apprentissage et de la formation en alternance aux métiers de l’aide à domicile pour les publics fragiles». Objectifs, selon elles:«élargir les possibilités de recrutement et de formation d’intervenants à domicile».