Dans notre article intitulé « La musicothérapie en quête de reconnaissance » (voir ASH n° 2879 du 17-10-14, page 32), nous indiquions que certaines structures proposaient des formations « peu rigoureuses ». Notre rédaction laissait entendre que l’Atelier de musicothérapie de Bordeaux (AMBx) figurait au nombre de celles-ci. Depuis avril dernier, cet atelier ne faisait plus partie de la Fédération française de musicothérapie (FFM) – laquelle défend certains critères pour être inscrit sur le registre national des musicothérapeutes. Mais, le 20 octobre, la FFM lui a annoncé, dans un courrier, « pouvoir l’accueillir à nouveau comme membre adhérent ». « C’est la place qui lui revient en tant qu’organisme de formation développant dans son sillage une école théorico-clinique qui fait honneur à la musicothérapie française », ajoute la fédération.
Côté terrain
En bref – Précision.
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