travaillent en général dans un seul établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) en complément d’une activité libérale pour certains. C’est l’un des grands traits du « portrait robot » des ces professionnels réalisé par le Journal du médecin coordonnateur et les principales fédérations les représentant, à partir d’un sondage effectué auprès d’environ 600 praticiens. Dix ans après la création de ce métier, plus de la moitié des répondants considèrent qu’il n’est pas assez reconnu. Ils se montrent plutôt satisfaits du « niveau de complicité avec les personnels de l’EHPAD » et globalement intégrés au parcours de soins. Plus de 30 % se disent néanmoins « insuffisamment en relation » avec les professionnels du sanitaire, du domicile et de la médecine de ville pour la coordination des soins.
Enquête présentée lors des XIIes assises nationales du médecin coordonnateur des 25 et 26 novembre à Paris.