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« La parentalité est un mythe qui a une puissance mobilisatrice »

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Dans un ouvrage intitulé Mythe de la parentalité, réalité des familles (éd. Dunod), Saül Karsz décrypte la catégorie de parentalité. Celle-ci ébranle fortement nos croyances sur le rôle des parents, les statuts de père et de mère, la famille, tout en cherchant à rapprocher les parents défaillants des modèles portés par la société. L’auteur voit dans cette catégorie une invitation pour les professionnels à revisiter leurs représentations et modes d’intervention auprès des familles.
Depuis vingt ans, dans de nombreux pays, se développent des dispositifs de soutien à la parentalité. Faut-il lier l’apparition de la thématique de la parentalité dans les politiques publiques aux métamorphoses de la famille ?

La parentalité a effectivement à voir avec les mutations de la famille : si l’on a eu besoin de recourir à ce néologisme, c’est que le terme de « parenté » ne suffisait plus à définir les relations entre les adultes et les enfants au sein non plus d’une famille conçue comme unique et éternelle, mais des familles aux configurations et aux contenus hétérogènes. Reste à savoir ce que précisément cette catégorie apporte à notre connaissance des fonctionnements familiaux : vient-elle confirmer ou renouveler notre vision de la famille ? Ma conviction est que, bien plus qu’un vocable générique, cette catégorie est la tête de pont d’une problématique, c’est-à-dire une manière de penser ce qui se passe chez les parents, les adultes et les enfants et entre eux.

Première idée-force, la parentalité consacre la disjonction parents-géniteurs : tous les parents supposés ne sont pas des parents effectifs et parler de « parents biologiques » est un contresens ! Les travailleurs sociaux s’occupent d’ailleurs de géniteurs qui ne peuvent ou ne veulent assumer leurs rôles de père ou de mère dûment estampillés. La parentalité démonte ainsi la croyance selon laquelle les parents seraient des « éducateurs naturels », voire « innés », et donc responsables à part entière de la transmission des valeurs et repères à leurs enfants. Ils ne sont pas les seuls à intervenir dans cette transmission.

Deuxième idée-force, la parentalité remet en cause l’idée selon laquelle le père et la mère sont toujours indispen­sables. Or des enfants s’en sortent très bien sans parents : comme le dit un proverbe africain, « il faut tout un village pour qu’un enfant grandisse ». « Père » et « mère » désignent des rôles, statuts, postures que des adultes entretiennent avec des enfants au sein d’une société à un moment donné.

Que répondez-vous alors à la question posée par l’association Parentel, lors de son dernier congrès (1) : « Avons-nous toujours besoin de père et de mère ? » ?

Pour certains individus, c’est une référence indispensable. Pour d’autres, élevés sans leurs parents, non. Mais, dans ce cas, on va expliquer que si certains enfants s’en sortent, c’est que les personnes qui s’en sont occupés – l’oncle, le grand frère, la grand-mère, l’éducatrice… – ont fait fonction de père ou de mère, même s’ils ne sont pas les « vrais » parents. Ce qui rend absconses des situations souvent difficiles. La catégorie de parentalité souligne combien notre langage plutôt rudimentaire, nos attaches culturelles judéo-chrétiennes, notre in­culture historique nous empêchent de concevoir les relations effectives entre adultes et enfants autrement qu’en faisant du père et de la mère des matrices auto-explicatives. Elle montre comment nous pensons petit face à un réel bien plus complexe.

Les travailleurs sociaux doivent-ils donc abandonner la référence au père et à la mère ?

Pas du tout, mais ils doivent la prendre pour ce qu’elle est, une référence historiquement construite. Ce qui permet de prendre de la distance avec la légende du « père absent », formule péjorative et moralisatrice qui impute au comportement paternel la cause unique des fonctionnements familiaux et sociaux ! Il s’agit d’abandonner la référence au « Père », cette entité imaginaire, dont l’absence est souvent comblée par l’idéalisation rétrospective de ce que celui-ci aurait été, dit et fait s’il avait jamais existé.

Les frontières mêmes de la parentalité sont débattues, comme le montre la violence des débats autour de l’homoparentalité, c’est-à-dire l’accès à l’adoption ou à la PMA (procréation médicalement assistée) des couples homosexuels (2)

La violence des débats s’explique notamment par la crainte des perturbations psychiques et des difficultés sociales encourues par les enfants du fait de leur mono-référence parentale. Pour certains, l’homoparentalité risquerait de transgresser l’ordre symbolique censé régir les rapports humains et l’incontournable dualité homme-femme. Comment les enfants vont-ils faire avec deux papas et deux mamans ?, se demande-t-on.

Mais cette façon de poser la question relève de présupposés souvent pris comme des vérités. Tout d’abord, on fait une confusion entre le sexe, donnée biologique et physiologique incontournable, et ses investissements psychiques et idéologiques qu’on appelle la sexualité. Or sexe et orientation sexuelle ne sont nullement des synonymes : la similitude des sexes biologiques n’empêche pas la disparité des pratiques et des rôles sexuels. Dans les couples hétérosexuels, la position féminine n’est pas en permanence celle de la femme ni la position masculine celle de l’homme. Même dans ces couples, l’enfant peut avoir deux mamans ou deux papas. Il faut abandonner les prétendues « essences » masculine et féminine !

Ensuite, l’expression même de « parents homosexuels » paraît saugrenue alors que l’homosexualité concerne le couple conjugal et non les parents. Impossible, en effet, de démontrer sans métaphysique que les comportements parentaux découlent de leur orientation sexuelle.

Soutenir que l’adoption d’enfants par des parents dits homosexuels entraîne forcément des dégâts rend par exemple inexplicable la présence massive d’enfants de parents dits hétérosexuels dans les ITEP (instituts thérapeutiques, éducatifs et pédagogiques), les MECS (maisons d’enfants à caractère social) et autres CMPP (centres médico-psycho-pédagogiques) ! Le débat est âpre, c’est pourquoi il faut qu’il soit argumenté.

Faut-il voir dans le développement d’une politique de soutien à la parentalité une intrusion de l’Etat dans les affaires de famille ?

C’est une posture qu’on développe pour se faire peur. La catégorie de parentalité met en évidence comment et pourquoi l’action publique se manifeste aussi entre les quatre murs d’une maison : ce n’est pas qu’une affaire de famille ! La famille est en effet un appareil d’Etat : parents et enfants ne font pas ce qu’ils veulent, mais doivent rendre des comptes. Le premier placement de l’enfant commence dans sa famille, acte signifié par la déclaration de naissance à l’état civil qui atteste de l’engagement que les parents ont contracté avec l’Etat. La croyance selon laquelle le placement ne commencerait que lors de l’entrée en institution sociale ou médico-sociale contribue à rendre les situations plus difficiles et douloureuses pour les familles et les intervenants, mais aussi pour les enfants ! La catégorie de parentalité vient rappeler que les familles sont elles-mêmes des institutions spécialisées dont on attend d’ailleurs qu’elles mobilisent certaines « compétences parentales ».

Le concept de parentalité s’accompagne aussi d’une série de peurs sur la capacité des parents à exercer leur rôle de parents. Ce sont les discours récurrents sur la démission parentale, la crise de l’autorité…

La parentalité, tel le dieu Janus Bifrons, est une catégorie instable parcourue par deux tendances contradictoires. Une tendance sécuritaire, fortement imprégnée de moralisme, férue de devoirs et de contraintes. Les parents sont alors renvoyés à des modèles préétablis, sinon ils sont considérés comme démissionnaires. Symptomatiques de ce courant, le contrat de responsabilité parentale créé en 2006 [abrogé par la loi du 31 janvier 2013], les conseils des droits et devoirs des parents et les stages de responsabilité parentale instaurés par la loi du 5 mars 2007 sur la prévention de la délinquance. Une autre tendance, laïcisante celle-là, est en revanche soucieuse d’accompagner les parents pour qu’ils se repositionnent, rectifient le tir en faisant part de leurs difficultés et de leurs tâtonnements sans jugement a priori. On cherche à les accompagner dans les cheminements parfois tortueux qu’ils dénichent. On s’attache non pas à leurs défaillances supposées mais à ce qu’ils inventent pour se débrouiller dans le monde tel qu’il va. La première tendance insiste pour que les parents tiennent leur rôle dans la reproduction des rapports sociaux ; la deuxième leur ménage des espaces de respiration sans faire de la soumission à l’agencement réputé normal des choses un critère absolu : elle s’inscrit dans un projet démocratique.

La parentalité oscille en permanence entre ces deux versants. Perçue tantôt comme un rempart opposé à la dislocation des repères, un rappel à l’ordre moral, tantôt comme une ouverture facilitant les transformations des familles et le renouvellement de certaines valeurs.

Vous parlez d’indéfinition de la parentalité. Il y a au contraire pléthore de définitions selon l’ancrage disciplinaire des auteurs…

La parentalité inspire effectivement une importante production bibliographique. Elle est auscultée, analysée du point vue psychologique, sociologique, anthro­pologique, juridique… Néanmoins, elle reste indéfinie au sens où ces disciplines, certes indispensables, ne mettent guère en évidence ses implicites et ses buts. Tout au plus commentée, la parentalité est constamment sous-entendue : assimilée ici aux parents, là à leur relation subjective aux enfants, plus loin aux responsabilités sociales des parents à l’égard des enfants. Or la parentalité contient un noyau dur qui dépasse les compartiments disciplinaires.

Quel est-il ?

Mon hypothèse est que la parentalité est une construction idéologique, un terme pris trop souvent dans un sens péjoratif et assimilé à un système d’idées doctrinaires et dogmatiques. Or tout discours, toute pratique, quels qu’ils soient, sont idéologiques au sens où ils mobilisent toujours des idéaux, des valeurs, des représentations conscientes ou inconscientes et ne sont jamais neutres. Si j’affirme que la parentalité est structurellement idéologique, c’est que tous les discours et pratiques qui s’y réfèrent déclinent un leitmotiv : « aider les parents à être parents ». Ce qui signifie les aider non pas à être des parents en général – ce qu’ils sont déjà –, mais des parents comme il faut, selon certains modèles, références, principes hégémoniques. Des modèles qui n’ont d’ailleurs rien d’un bloc sans faille comme le montrent les tiraillements entre courants sécuritaire et démocratique !

Ce qui interroge les services et les professionnels n’est donc pas l’absence de mobilisation ou de désir de la part des parents, mais leur mobilisation particulière ou leur désir « incorrect » censé menacer l’épanouissement de l’enfant. Il s’agit, à chaque fois, d’évaluer la distance qui sépare les fonctionnements des familles vis-à-vis des modèles qu’elles sont tenues d’accomplir. Ce qui n’est pas en soi un souci pour les professionnels, mais une donnée à prendre en compte à condition de ne pas croire que ces modèles sont les seuls possibles. Et de ne pas céder aux sirènes sécuritaires ! Par exemple, dans ses rapports avec ses parents, ce n’est ­nullement la construction identitaire d’un enfant qui peut être déstabilisée, mais certaines de ses modalités.

Vous allez jusqu’à affirmer que la parentalité serait un mythe…

Elle met en scène une fable selon laquelle des parents en difficulté deviennent, grâce à une assistance forcément orientée, des parents « pour de vrai » et finissent par accéder à un monde merveilleux fait de réconciliation avec eux-mêmes et avec leurs enfants. La catégorie de parentalité fonctionne comme un chiffrage-déchiffrage du réel des familles en mettant en valeur certains principes, certaines configurations parentales contre d’autres.

Mais ce mythe, et c’est son intérêt, a une puissance mobilisatrice et produit des effets. Il permet, en déclenchant des croyances individuelles et collectives, d’orienter les pratiques, de remobiliser des parents, de rassurer les professionnels et les services, de donner du sens à des situations qui apparemment n’en ont pas. Et, au-delà, ce mythe en déconstruit un autre, celui de la famille en tant que nécessité inébranlable et irrépressible : inscrite dans l’histoire et évolutive, celle-ci n’est cependant qu’une des modalités du vivre ensemble alors que d’autres agencements sont possibles entre adultes – hétérosexuels ou non – et enfants.

A partir de votre expérience d’analyse des pratiques, à quelles difficultés sont confrontés les travailleurs sociaux dans le soutien à la parentalité ?

Tout d’abord, les jugements moraux sur les parents. Ils sont inévitables tant qu’on imagine la famille comme un espace naturel et non comme une construction changeante et périssable, les conflits comme des anomalies et non comme des recherches de nouveaux compromis, les exceptions à la règle comme des symptômes à soigner et non à déchiffrer.

L’autre grand écueil est le psychologisme, qui consiste à faire d’un registre essentiel, le psychisme, une explication tous azimuts. C’est faire preuve de psychologisme que de mettre les comportements transgressifs d’un enfant sur le compte du laxisme parental en passant sous silence les conditions de vie familiales, le fonctionnement de l’appareil scolaire, la banalisation des « affaires » et autres trafics. Psychologisme également quand on affirme que tel père ne sait pas imposer des limites en ignorant que celles-ci sont également construites – ou démantelées – par la télévision, les amis… Le psychologisme fait écran pour reconnaître que certaines « défaillances » peuvent être aussi des trouvailles grâce auxquelles des individus tentent de s’arranger avec leurs histoires. Les parents, qui n’ont pas forcément raison dans leurs comportements ou leurs postures, ont toujours des raisons qu’il faut pouvoir entendre.

Quel doit être l’objectif pour les intervenants ?

Leur intervention peut prendre deux directions. Soit soutenir la fonction parentale comme on le prône très souvent, ce qui revient à aider les parents à être ce qu’ils se doivent d’être et à, finalement, ne pas trop s’intéresser à eux. Soit accompagner les parents, faire quelques pas avec eux, en souhaitant qu’ils veuillent bien interroger leurs trouvailles et leurs impasses. Il s’agit d’apprendre d’eux afin que les destinataires de l’intervention en soient aussi les coauteurs. Une démarche où la prise en charge cède le pas à la prise en compte, bien plus riche que l’évaluation du degré de conformité à la fonction parentale !

C’est pourquoi les professionnels ont intérêt à s’appuyer sur deux ressources majeures. D’une part, la formation ininterrompue car les difficultés des pratiques sont proportionnelles aux ignorances et indisponibilités subjectives des praticiens. D’autre part, l’analyse régulière des pratiques tant les situations de parentalité peuvent déstabiliser les professionnels dans leurs convictions, leurs orientations théoriques, leur rapport à la famille, voire à la leur. Telle que je la pratique sous la forme d’une clinique transdisciplinaire, celle-ci vise à co-construire avec les professionnels des connaissances aussi objectives que possible des situations concrètes au-delà des opinions et des ressentis.

Une thématique qui irrigue très largement le champ du travail social

Comme l’ensemble des pays de l’OCDE, la France a développé une politique de soutien à la parentalité afin d’« aider les parents à être parents ». C’est en 1999 avec la création des « réseaux d’écoute, d’appui et d’accompagnement des parents » (REAAP) que la parentalité est officiellement entrée dans le domaine de l’action publique. Mais les ajouts successifs de dispositifs ont constitué un ensemble composite au sein duquel, l’inspection générale des affaires sociales (IGAS) repère des « cercles concentriques » :

• le soutien à la parentalité stricto sensu, qui rassemble six dispositifs : les REAAP, les lieux d’accueil enfants-parents, les contrats locaux d’accompagnement à la scolarité, les points info famille, la médiation familiale et les espaces de rencontre ;

• une approche plus large, qui intègre l’action des centres sociaux en direction des familles, les travailleuses familiales de la branche famille et les aides aux vacances familiales ;

• un cercle élargi à plusieurs politiques publiques – protection maternelle et infantile, protection de l’enfance, politique de la ville… –, qui font désormais référence à la parentalité. De fait, cette thématique irrigue aujourd’hui très largement le champ du travail social. Objet de toutes les attentions, elle préoccupe les pouvoirs publics, mais aussi de nombreux experts comme l’attestent la multitude de rapports (3) et d’ouvrages (4) sur le sujet.

Le social sous la loupe de l’idéologie et de l’inconscient

Argentin d’origine, français d’adoption, Saül Karsz, philosophe, sociologue et formateur, ausculte depuis presque cinquante ans le social à travers une grille d’analyse bien particulière. Forgée à partir de ses lectures de Freud, Lacan, Marx et Althusser, celle-ci met en jeu les concepts d’idéologie et d’inconscient. Le postulat central est que, dans tout processus de décision, entrent en jeu des représentations, modèles, valeurs sociales et des configurations psychiques. Des logiques qu’il convient de déchiffrer au mieux pour en tenir compte et moins se tromper. Car une chose est sûre pour le philosophe, si le réel est saturé de discours et représentations, il existe indépendamment et il convient de l’objectiver au plus près.

Cette philosophie, de portée universelle puisqu’elle vise la conduite générale des individus et des groupes, sert de fil rouge à Saül Karsz pour analyser la parentalité (5), après le travail social et l’exclusion (6). Son hypothèse est que ces catégories, tout en entrant en résonance avec le vécu subjectif de chacun, sont des constructions idéologiques : elles mettent en évidence les décalages entre les manières de faire et de penser de certains « exclus », usagers et parents et les agissements qu’ils sont censés avoir dans la société. D’où son affirmation de l’impossible neutralité des interventions sociales et des institutions, qui ne visent pas, défend-il, l’autonomie de leurs publics mais une certaine représentation de l’autonomie et de la normalité.

Mais si les professionnels sont invités à revoir leurs habitudes de pensée, ils sont aussi conviés à réviser leurs pratiques. Celui qui entretient des liens réguliers avec le terrain – il a créé, en 1982, le réseau Pratiques sociales (7) et anime des groupes d’analyse des pratiques auprès d’équipes d’intervenants sociaux, de chefs de service et de directeurs – a en effet défini une clinique d’intervention spécifique. Il s’agit, à travers une approche dite « transdisciplinaire » – au sens où elle se nourrit des apports des différentes disciplines –, d’accompagner les professionnels dans le repérage des mécanismes de l’idéologie et de l’inconscient « toujours à l’œuvre » dans les situations afin de leur permettre de « nouer des alliances » avec leurs publics. Une pensée sur le social qui, si elle rejoint les préoccupations actuelles sur le « faire avec » les usagers, s’en éloigne par sa prise de distance à l’égard de l’humanisme qui oriente le travail social. • I. S.

Notes

(1) Organisé sous ce titre les 5 et 6 juin à Brest – www.parentel.org.

(2) Le gouvernement a d’ailleurs exclu, dans le cadre de la proposition de loi sur l’autorité parentale et l’intérêt de l’enfant – dont la discussion à l’Assemblée nationale, après avoir été interrompue deux fois, devait reprendre le 27 juin – d’ouvrir la PMA aux couples de femmes comme le demandait Irène Théry dans son rapport « Filiation, origine, parentalité » – Voir ASH n° 2855 du 11-04-14, p. 17.

(3) Dont ceux de l’IGAS « Evaluation de la politique de soutien à la parentalité » en 2013 (voir ASH n° 2798 du 22-02-13, p. 8) et du Centre d’analyse stratégique « Aider les parents à être parents » (voir ASH n° 2773 du 7-09-12, p. 15).

(4) Parmi les dernières publications, La nouvelle autorité parentale et les actions de soutien à la parentalité – Pierre Verdier et Catherine Sellenet – Ed. Berger Levrault (2013) et Soutenir et contrôler les parents – Gérard Neyrand – Ed. érès, 2014 (voir ASH n° 2729 du 21-10-11, p. 38).

(5) Mythe de la parentalité, réalité des familles Ed. Dunod – 23,90 €.

(6) Pourquoi le travail social ? (2011, réédition) et L’exclusion, définir pour en finir – Sous sa direction (2000) – Ed Dunod.

(7) Qui réunit des personnes et des associations qui partagent les orientations résumées à travers la formule « l’idéologie et l’inconscient font nœud ». Ses prochaines journées d’étude, les 17, 18 et 19 novembre 2014, ont pour thème « Famille (s), parentalité (s) et autres enjeux contemporains » – www.pratiques-sociales.org.

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